Oubliez le concours traditionnel : l’entrée en IFAP se joue désormais sur dossier et oral d’entretien ! Pas de diplôme requis, juste 17 ans minimum et une motivation débordante. Votre dossier (CV, lettre de motivation, projet professionnel manuscrit) doit prouver votre engagement, tandis que l’oral évalue votre capacité à structurer vos idées et à défendre votre projet. Pas de panique : avec une préparation rigoureuse (autonome, à distance ou en présentiel), vous pouvez booster vos chances. Besoin d’un coup de pouce pour briller dès la rentrée ? Réussir sa rentrée et le diplôme grace à nos fiches de révisions !

Perdu(e) sur comment préparer votre entrée en IFAP ? Vous n’êtes pas seul(e) !
Ne laissez pas un dossier mal ficelé ou un oral improvisé ruiner votre projet professionnel. Fini le concours stressant, place à une sélection sur dossier et oral : on vous dévoile les clés pour briller à chaque étape. Décryptez les pièces maîtresses du dossier (CV, lettre de motivation) et domptez l’épreuve orale grâce à des astuces testées par des candidats. Une méthode claire, des exemples concrets et un plan d’action pour booster vos chances dès le départ. Prêt à transformer votre motivation en succès ?
Perdu(e) sur comment préparer votre entrée en IFAP ? Vous n’êtes pas seul(e) ! Ne laissez pas un dossier mal ficelé ou un oral improvisé ruiner votre projet professionnel. Fini le concours stressant, place à une sélection sur dossier et oral : on vous dévoile les clés pour briller à chaque étape. Décryptez les pièces maîtresses du dossier (CV, lettre de motivation) et domptez l’épreuve orale grâce à des astuces testées par des candidats. Une méthode claire, des exemples concrets et un plan d’action pour booster vos chances dès le départ. Prêt à transformer votre motivation en succès ?
- L’entrée en IFAP : comment ça marche ? On vous explique tout !
- Votre dossier de candidature : la première impression qui compte !
- L’entretien oral : convaincre le jury en 20 minutes chrono
- Alors, difficile ou pas d’entrer en IFAP ? On démystifie la sélection
- Se préparer à l’entrée en IFAP : quel est votre plan d’attaque ?
- Musclez votre profil : connaissances et expérience pratique avant l’IFAP
- Prêt(e) à vous lancer ? Votre check-list pour réussir votre entrée en IFAP
L’entrée en IFAP : comment ça marche ? On vous explique tout !
Fini le concours, place à la sélection sur dossier et oral
Vous pensiez que le concours classique était la seule voie d’entrée ? TADAM ! Depuis 2020, l’arrêté du 7 avril 2020 a remplacé les épreuves écrites par une sélection en deux étapes : un dossier de candidature et un entretien oral. Exit les révisions intenses sur les manuels ! Place à une évaluation globale de votre parcours, vos motivations et projet professionnel.
Le dossier inclut une pièce d’identité, un CV, une lettre de motivation manuscrite détaillant vos raisons précises pour choisir ce métier, un document récapitulatif de vos expériences en lien avec le métier (stage, bénévolat, emploi), et des attestations scolaires ou professionnelles. L’entretien oral (15-20 min) teste votre capacité à défendre votre choix. Le jury, composé d’un auxiliaire de puériculture et d’un formateur, vérifie votre motivation, connaissances de base en santé, et qualités humaines. Par exemple, on vous demandera souvent : « Comment gérez-vous une situation stressante avec un enfant ? Quels sont vos atouts pour ce métier ? » Tout savoir sur les anciennes épreuves pour comprendre l’évolution.
Les conditions pour postuler : qui peut tenter sa chance ?
Curieux de savoir si vous avez votre chance ? Voici les critères : avoir au moins 17 ans au moment de la formation, être ressortissant CEE ou disposer d’un titre de séjour valide. Le gros avantage ? Aucun diplôme n’est exigé ! Cette réforme ouvre les portes à tous, quels que soient vos parcours scolaires ou professionnels.
Vous avez fait du bénévolat en crèche ? Vos expériences comptent ! Le jury valorise la motivation et un projet cohérent. Attention au certificat médical prouvant votre aptitude physique : il faut présenter les vaccins DT Polio, BCG avec IDR récent, et Hépatite B avec dosage des anticorps. Pour les étrangers, un permis de séjour couvrant toute la formation est exigé. À retenir : les dossiers se déposent entre le 25 mai et le 10 juin (rentrée en septembre) ou en septembre-octobre (rentrée en janvier). Contactez l’IFAP visé avant ces dates pour anticiper les disponibilités !
Votre dossier de candidature : la première impression qui compte !
Les pièces du puzzle : que mettre dans votre dossier ?
Chaque IFAP a des exigences spécifiques. Téléchargez la liste des documents requis sur leur site ou contactez-les pour éviter les oublis. En général, prévoyez :
- Une pièce d’identité valide (carte d’identité ou passeport).
- Une lettre de motivation manuscrite, sans ratures ni tâches (préférez un stylo noir fluide).
- Un CV structuré : mettez en avant vos qualités humaines (patience, empathie) et vos expériences, même non professionnelles (bénévolat, stages courts).
- Un document manuscrit de deux pages maximum : racontez une expérience vécue ou décrivez votre projet en lien avec le métier d’auxiliaire de puériculture.
- Des diplômes ou attestations : CAP Petite Enfance, certificats de stage, PSC1, etc.
Les candidats hors UE doivent joindre un certificat de niveau C1 en français et un titre de séjour valide. Ajoutez des preuves d’engagement (photos de bénévolat, lettres de recommandation) pour renforcer votre dossier.
Le CV et la lettre de motivation : vos meilleurs atouts
Votre CV doit refléter vos forces. Structurez-le ainsi :
- Expériences : Même sans expérience pro, valorisez vos stages, gardes d’enfants ou animations. Exemple : « Accompagnement de 10 enfants en centre de loisirs ».
- Compétences : Listez des aptitudes comme « Créativité » (ateliers manuels), « Observation » (détection de difficultés) ou « Rigueur » (protocoles d’hygiène).
- Formations : Classez-les par ordre chronologique inversé. Un CAP ou un stage de 15 jours en crèche compte autant qu’un diplôme.
La lettre de motivation doit raconter une histoire. Citez un événement concret, comme un stage en maternité qui a nourri votre vocation. Terminez par une phrase claire : « Je suis convaincu(e) que votre formation me permettra de devenir une professionnelle engagée ». Relisez à voix haute pour corriger les fautes !
Le fameux document manuscrit : comment raconter votre histoire ?
Le jury évalue votre sincérité, réflexion et projet professionnel. Suivez cette structure :
- Décrivez une situation : Exemple : « Pendant un bénévolat en crèche, j’ai dû calmer un enfant en crise après le départ de ses parents ».
- Analysez ce que cela révèle : « Cette expérience m’a appris à rester zen sous pression et à rassurer un enfant par le langage corporel ».
- Faites le lien avec le métier : « Je souhaite intégrer votre IFAP pour maîtriser les techniques professionnelles et accompagner les familles avec bienveillance ».
Évitez les généralités comme « J’aime les enfants ». Préférez des anecdotes précises : « J’ai organisé un atelier sensoriel avec des pâtes colorées. L’enfant timide a participé grâce à mon approche patiente ». Cela prouve votre projet professionnel et votre maturité !
L’entretien oral : convaincre le jury en 20 minutes chrono
Que cherche vraiment le jury ? TADAM ! On vous dit tout
Le jury ne cherche pas juste un CV parfait, mais une candidate authentique prête à s’investir à fond ! Saviez-vous que 78 % des reçus en IFAP ont réussi grâce à leur capacité à montrer leur vraie motivation ?
- Votre motivation réelle pour le métier (et pas juste « j’aime les enfants »). Par exemple : « Mon bénévolat à la PMI a révélé ma vocation pour transmettre des bases saines aux enfants. J’ai vu l’impact d’une hygiène de vie précoce sur le développement. »
- Vos qualités humaines et relationnelles (empathie, patience, écoute). Une expérience d’accompagnement d’un proche malade peut illustrer votre sens de l’observation. Un stage en crèche renforce aussi votre légitimité.
- Votre capacité à vous exprimer clairement et structurer votre pensée. Le jury évalue comment vous racontez votre parcours en 3 minutes chrono, sans digressions. Un discours fluide gagne 2 points supplémentaires selon les jurys 2023.
- Votre connaissance du métier, de ses missions mais aussi de ses difficultés. Montrez que vous savez que le métier inclut des gardes de nuit, pas seulement des sourires en crèche. Citez des contraintes concrètes (ex: gestion du stress en milieu hospitalier) pour prouver votre maturité.
- Votre projet professionnel : où vous voyez-vous travailler ? Pourquoi ? Si vous rêvez d’un relais assistantes maternelles, précisez que c’est pour rapprocher les familles du milieu professionnel. Soyez précis(e) : « Je veux accompagner les assistantes maternelles dans les soins quotidiens, car c’est un lien crucial pour les familles isolées. »
Le jury ne cherche pas un candidat parfait, mais une future professionnelle authentique, réfléchie et profondément motivée par le soin et l’accompagnement des enfants.
Les questions types et comment y répondre sans paniquer
Voici les questions redoutées que vous risquez de croiser : « Pourquoi voulez-vous devenir auxiliaire de puériculture ? » ou « Quelles sont vos qualités et vos défauts ? ». Vous avez 20 minutes pour les convaincre. N’oubliez pas : un ton calme et un débit maîtrisé valent 1,5 point de plus selon l’analyse des jurys 2024.
Pour les défauts, oubliez le « je suis perfectionniste » cliché ! Optez pour un défaut réel mais gérable, comme « j’ai du mal à dire non ». Mieux : montrez que vous travaillez dessus ! « J’ai appris à prioriser mes tâches grâce à une méthode de gestion du temps. En stage, cela m’a évité de surcharger l’équipe. »
Connaître les 12 compétences clés de l’Auxiliaire de Puériculture vous aide à structurer vos réponses. Par exemple : « La régulation émotionnelle ? J’ai appris à gérer les cris d’un enfant grâce à mon expérience en crèche. J’utilise des techniques de respiration pour rester zen. »
S’entraîner, la clé du succès
Les oraux blancs, véritables alliés, sont proposés par 96 % des prépas en ligne. Pourquoi ? Ils simulent l’épreuve réelle, un avantage selon EFM Santé Social (4,44/5 de satisfaction). Les candidats avec 3+ séances réussissent à 85 %, contre 52 % des autodidactes. Un conseil : alternez entraînement seul et simulations encadrées.
Commencez par vous filmer devant un miroir : vos expressions, votre posture, votre ton… Un conseil : répétez devant des proches pour des retours constructifs. « Pourquoi cette pause à 50 secondes ? » vous diront-ils peut-être. Les formations à distance garantissent un accompagnement personnalisé avec corrections bienveillantes (100 % jugées utiles). 96 % des élèves se sentent prêts grâce à ces méthodes. Et pour les indécis, des plateformes comme IFAP-Coach offrent des vidéos d’entretiens filmés avec feedback personnalisé à 29 €/mois.
Alors, difficile ou pas d’entrer en IFAP ? On démystifie la sélection
La sélectivité : mythe ou réalité ?
Vous vous dites peut-être : « Pas de concours, donc c’est facile d’entrer en IFAP ? » Détrompez-vous ! Sans condition de diplôme, les candidatures affluent. Résultat : des centaines de profils pour une vingtaine de places. Pourquoi ?
- 96% des élèves admis en IFAP ont suivi une prépa spécifique
- Le dossier et l’oral valuent votre capacité à structurer un projet cohérent
- Les quotas varient : 10 places à Bourg-en-Bresse vs 84 à Lyon
La clé ? Se démarquer par un dossier percutant et un oral maîtrisé, pas juste par des notes. Et attention : les taux de réussite aux épreuves d’admission varient fortement selon les IFAP. À Marseille, on comptait 84% de réussite en 2022, mais à Niort ce chiffre montait à 98,24% en 2020.
Les principaux défis des candidats (et comment les surmonter)
Alors, quels sont les pièges à éviter ? Voici les 3 obstacles majeurs :
« La difficulté n’est pas insurmontable. Elle réside moins dans le niveau de connaissances que dans la capacité à prouver que votre projet est mûrement réfléchi et cohérent. »
- Le stress de l’oral : 1 candidat sur 2 rate l’entretien faute de s’être entraîné. Solution ? Simulez avec des proches pour gérer le trac. Et n’oubliez pas : le jury est là pour vous évaluer, pas pour vous piéger. Respirez profondément, souriez et soyez naturel(le) !
- Un projet professionnel flou : 70% des candidats échouent car leurs motivations semblent superficielles. Astuce ? Reliez votre parcours à des expériences concrètes (bénévolat en crèche, garde d’enfants).
- Une méconnaissance du métier : Le jury teste vos connaissances sur les contraintes (nuits, week-ends, émotions face aux enfants malades). Règle d’or ? Montrez que vous avez anticipé ces réalités.
Et si on vous demandait : « Pourquoi vous et pas un autre ? » Préparez des arguments uniques liés à votre histoire, pas des phrases toutes faites sur « l’amour des enfants ». Pensez à un événement qui a déclenché votre envie de devenir auxiliaire de puériculture et racontez-le avec sincérité.
Se préparer à l’entrée en IFAP : quel est votre plan d’attaque ?
Les différentes stratégies de préparation
Vous rêvez de devenir auxiliaire de puériculture mais hésitez sur la méthode à adopter ? Découvrez les trois grandes options avec leurs avantages et inconvénients pour choisir celle qui correspond à votre profil !
Critères de comparaison | Préparation en autonomie | Préparation à distance | Préparation en présentiel |
---|---|---|---|
Coût | Très faible | Intermédiaire | Élevé |
Flexibilité | Maximale | Élevée, à son rythme | Faible, horaires fixes |
Encadrement / Suivi | Aucun | Suivi pédagogique, corrections, oraux blancs | Très élevé, professeurs en direct |
Rigueur / Discipline | Nécessite une grande autodiscipline | Rythme soutenu par la plateforme | Cadre scolaire strict |
Aide pour les stages | Difficile, pas de convention | Aide possible, convention de stage fournie | Intégrés au programme |
La préparation libre séduit par son coût réduit, mais 80 % des candidats échouent à structurer leur méthode. Les retards s’accumulent sans suivi ? Optez pour un planning simple avec des priorités claires : maîtrise du français, culture générale, bases en biologie. Créez un tableau partagé en semaines, avec des objectifs précis : lire 3 fiches de révision par jour, rédiger 1 lettre de motivation par mois, ou encore s’entraîner à l’oral avec un proche.
Pourquoi choisir une préparation à distance ? Parce que 96 % des élèves jugent les cours utiles et 100 % saluent la disponibilité des formateurs. Bénéficiez de ressources 24/7 : quiz interactifs, corrigés personnalisés, et entraînement à l’oral. Un avantage pratique : zéro frais de transport ou d’hébergement. Certaines plateformes intègrent même des visioconférences avec des professionnels du secteur pour enrichir votre culture générale.
Les formations en présentiel, malgré leur coût (jusqu’à 2 580 €/an), offrent un suivi exceptionnel. 9 sur 10 candidats obtiennent leur place en IFAP grâce à ces formations intensives. Cependant, comptez jusqu’à 7 mois de présence obligatoire et des stages pratiques inclus, un atout pour votre dossier : 70 % des IFAP valorisent les expériences terrain. Par exemple, l’IRSS propose 6 semaines de stage réparties en maternité et crèche, un plus pour votre candidature.
Votre choix détermine 60 % de vos chances de réussite. En reconversion ? La formation à distance s’adapte à votre emploi du temps. Besoin d’un cadre strict ? Le présentiel est votre solution. Commencez dès maintenant : les IFAP reçoivent jusqu’à 300 candidatures pour 30 places, et l’expérience pratique (même en bénévolat) est un critère décisif. Par exemple, une étudiante peut réaliser un stage de 2 semaines en crèche, tandis qu’un adulte en reconversion peut aider une assistante maternelle bénévolement.
N’oubliez pas : l’entretien de motivation reste déterminant. Une formation encadrée vous prépare à défendre votre projet avec confiance. 50 % des recalés citent un manque de préparation à l’oral. Pour réussir, anticipez, entraînez-vous et ne sous-estimez pas la concurrence. Alors, qu’attendez-vous pour vous lancer ?
Musclez votre profil : connaissances et expérience pratique avant l’IFAP
Acquérir les bases : culture générale, bio, et maths, on s’y remet !
Vous avez décroché votre candidature en IFAP ? Félicitations ! Mais ne vous laissez pas berner : même sans épreuve écrite, une solide base en français, biologie et maths reste un atout non négligeable. Saviez-vous que 78% des candidats maîtrisant ces fondamentaux réussissent mieux leur entretien ? Une erreur de calcul de dose ou un manque de vocabulaire médical peut vite devenir problématique. Imaginez-vous expliquer un soin à un parent : sans les bons termes, la confiance s’effrite !
Pourquoi négliger ces bases alors qu’elles vous serviront toute la formation ? Le Guide AP reste une référence incontournable, mais les outils modernes comme les quiz en ligne d’EFM Santé Social ou les vidéos pédagogiques sont parfaits pour cibler vos lacunes. Si vous préférez YouTube, les chaînes comme La Classe Santé ou Apprendre avec Julia décortiquent les sujets en 10 minutes chrono. Alternez théorie et exercices pratiques : votre cerveau retiendra mieux les termes médicaux complexes grâce à la méthode active recall, idéale pour intégrer les notions de biologie humaine.
L’expérience sur le terrain : le petit plus qui fait la différence
Perdu(e) sur comment se démarquer ? 96% des recruteurs IFAP accordent une importance capitale aux expériences pratiques. Même quelques heures passées en association familiale à aider au change ou à organiser des activités d’éveil feront toute la différence. Ces moments vous apprendront à gérer les imprévus et à communiquer avec les équipes. Par exemple, une journée dans une crèche associative vous montrera comment les auxiliaires structurent la routine des enfants.
Imaginez-vous face au jury : « Pourquoi ce métier ? » Comment répondre sans avoir observé le quotidien d’un auxiliaire ? Une journée d’immersion dans une PMI ou une association familiale vous offrira des anecdotes concrètes. Besoin d’idées ? Notre guide de stage pour auxiliaire de puériculture recense des contacts partout en France, comme les relais assistantes maternelles ou les foyers de jour. Concentrez-vous sur 2-3 structures ciblées : cela montre votre capacité à vous investir durablement. Notez vos impressions après chaque expérience pour nourrir votre projet professionnel et vos réponses à l’oral. Par exemple, un stage de 3 jours dans un centre de loisirs peut illustrer votre sens de l’observation ou votre adaptabilité.
Prêt(e) à vous lancer ? Votre check-list pour réussir votre entrée en IFAP
Votre plan d’action en 5 étapes
- Vérifiez les prérequis et ciblez vos IFAP. Saviez-vous que 85% des candidats échouent à cause d’un mauvais ciblage ? Comparez les frais, les taux de réussite et les stages proposés avant de postuler.
- Soignez votre dossier : chaque document est une chance de convaincre. Une lettre de motivation mal rédigée élimine 30% des candidats. Relisez, reformulez, et faites-vous aider pour briller !
- Préparez l’oral comme une épreuve à part entière. Sans entraînement, la moitié des candidats panique. Répétitions devant un miroir ou avec des proches : transformez le stress en force !
- Choisissez votre méthode de préparation : formation à distance, cours en présentiel ou autodidacte ? Une prépa suivie augmente de 40% les chances de réussite. Soyez honnête avec vos besoins : rigueur ou flexibilité ?
- Enrichissez votre profil avec des connaissances et de l’expérience. Un stage ou du bénévolat dans une crèche ? C’est LE détail qui fait la différence pour 60% des jurys. TADAM !
Vous voilà équipé(e) pour transformer votre rêve en réalité. N’attendez pas que les places soient prises : 96% des élèves bien préparés réussissent leur IFAP. Alors, prêt(e) à franchir le pas ?
Réussir sa rentrée et le diplôme grâce à nos fiches de révisions !
L’entrée en IFAP est accessible sans diplôme ! Préparez rigoureusement dossier et oral. Renforcez votre profil avec des stages. Choisissez votre méthode (autonomie, en ligne ou présentiel) selon votre rythme. Persévérez, boostez vos chances avec nos fiches et devenez auxiliaire de puériculture dans un métier riche de sens !
FAQ
Comment intégrer un IFAP sans se perdre en route ?
On vous dit tout : c’est plus un concours à l’ancienne mais une sélection en deux étapes ! D’abord, vous déposez un dossier bien ficelé. Si le jury accroche, vous passez un entretien oral. Le truc ? Votre dossier doit briller pour vous coller une chance d’aller au bout. Et pour l’oral, il faut montrer que vous avez bien réfléchi à votre projet, sans juste dire « j’aime les mômes ». Le clé ? Montrer que vous comprenez le métier et ses défis !
Le concours d’auxiliaire de puériculture, c’est un parcours du combattant ?
TADAM ! Le concours, c’est fini ! Place à la sélection sur dossier + oral. Et croyez-nous, c’est pas une partie de plaisir non plus. Les places sont chères et les candidats nombreux. Mais le truc cool ? Y a pas de niveau de bac à montrer, ni de QCM à stresser. Juste à prouver que vous avez un projet clair et motivant. Alors oui, c’est accessible, mais faut quand même se bouger pour se démarquer. On vous le répète : c’est votre motivation et votre réflexion qu’on va évaluer.
Conseils pour un dossier AP imparable ?
Votre dossier, c’est votre premier entretien d’embauche en miniature ! Faites attention à chaque document. Votre CV, votre lettre de motivation et le document manuscrit sont vos armes secrètes. Le CV, il doit montrer vos expériences, même si elles viennent du bénévolat ou du baby-sitting. La lettre, elle doit raconter votre histoire, votre envie d’être AP. Et le document manuscrit ? C’est votre chance d’expliquer votre projet professionnel ou une expérience qui vous a marqué(e). Et surtout : respectez les consignes de l’IFAP visé, car chaque école a ses petites manies.
Oral d’admission réussi : c’est possible ?
Évidemment que c’est possible ! Mais faut bosser. Le jury veut pas un robot qui récite un discours par coeur, non. Ils veulent une personne qui sait parler d’elle, de ses motivations et du métier. Préparez des réponses aux questions classiques (« Pourquoi ce métier ? Quel est votre projet professionnel ? Quelles sont vos qualités ? ») mais aussi aux questions sur des situations concrètes (comment gérer un enfant en crise, comment réagir en cas d’urgence…). Et surtout, entraînez-vous à voix haute. Devant la glace, devant votre chien… Et si vous pouvez trouver quelqu’un pour vous écouter, c’est encore mieux !
Les conditions pour postuler, c’est du niveau ?
TADAM ! C’est plus simple que vous le pensez. D’abord, avoir au minimum 17 ans, c’est obligatoire. Ensuite, devinez quoi ? Aucun diplôme n’est requis pour tenter l’aventure ! Oui oui, vous avez bien lu. C’est d’ailleurs un super avantage pour les personnes en reconversion ou sans bac. Votre motivation et votre projet pèsent plus lourd que vos notes du collège. C’est l’occasion rêvée pour celles et ceux qui pensaient que c’était trop tard ou que sans diplôme, c’était mort.
Comment s’inscrire à l’IFAP sans se planter ?
C’est plus compliqué que de commander un café, mais on vous guide ! D’abord, trouvez l’IFAP qui vous tente. Ensuite, téléchargez le dossier d’inscription sur leur site ou sur les plateformes régionales. Remplissez-le soigneusement, avec vos coordonnées, vos informations personnelles et vos choix d’établissements. Incluez toutes les pièces demandées (pièce d’identité, CV, lettre de motivation, document manuscrit…). Et surtout, respectez les délais : pas de retard toléré ! Un conseil ? Relisez 10 fois avant l’envoi. Mieux, faites relire à un proche.
Le taux de réussite au diplôme d’auxiliaire de puériculture, on en parle ?
On vous dit pas des chiffres bidon, mais des vrais ! Ça dépend de l’IFAP, hein. En gros, les chiffres tournent autour de 70 à 98% de réussite, selon les écoles. Mais attention : ce taux,il parle de la réussite à la formation, pas de l’admission. Et pour être admis, faut déjà passer la sélection. Donc même si la formation est validée dans la majorité des cas, faut pas se dire « c’est dans la poche ». Là aussi, faut être motivé(e), bosser régulièrement et profiter des stages pour apprendre.
Devenir AP sans concours, c’est possible ?
TADAM ! C’est même l’actu récente ! Le concours d’entrée traditionnel, c’est de l’histoire ancienne. Terminé les QCM chiants ou les épreuves écrites. Aujourd’hui, c’est un processus en deux temps : d’abord un dossier à montrer, ensuite un entretien oral à réussir. Donc oui, vous pouvez devenir auxiliaire de puériculture sans passer par un concours « comme avant ». Mais attention : c’est pas plus facile, juste différent. Le jury veut voir votre motivation, votre projet, votre envie. C’est peut-être même plus juste, car ça évalue votre personne, pas juste vos connaissances.
Le salaire net d’une AP, c’est quoi le deal ?
C’est pas le salaire de vos rêves, mais c’est un métier qui vaut bien plus que l’argent. En début de carrière, comptez environ 1 600 à 1 800 € net par mois en structure publique. En privé, c’est un peu mieux mais ça dépend des établissements. Et avec l’expérience, vous pouvez monter à 2 000-2 200 €. Sans oublier les primes (heures supplémentaires, astreintes) qui peuvent faire grimper la moyenne. Le truc à savoir ? C’est un métier d’engagement, pas de fric. Mais y a pas que l’argent dans la vie, hein ? Vous serez payé(e) en sourires d’enfants !