Vous rêvez de devenir auxiliaire de puériculture ? La formation coûte 3 500 à 7 000 euros/an (logement, transports et fournitures en plus). Selon votre statut, des aides existent : Pôle Emploi ou la Région pour les demandeurs d’emploi, le CPF ou le Projet de Transition Pro pour les salariés (salaire conservé), bourses ou prêts étudiants pour les jeunes. L’alternance combine expérience et rémunération. Anticipez, comparez les aides et montez un dossier solide : votre reconversion est à portée de main !

Financer sa formation d’auxiliaire de puériculture, c’est possible ?
Vous vous posez la question, avouez-le ! Entre les frais de scolarité (jusqu’à 7 315 € selon l’IFAP) et les dépenses annexes (logement, transports), le budget peut faire peur. Mais bonne nouvelle : des aides adaptées à chaque profil (demandeur d’emploi, salarié, étudiant) existent ! Découvrez comment obtenir une prise en charge via la Région (ex. 100% en Grand-Est), activer votre CPF (délai de 15 jours) ou opter pour l’alternance. Votre reconversion n’a jamais été aussi accessible, même avec un prêt étudiant sans garant.
- Avant de commencer : quel est le coût réel de la formation d’auxiliaire de puériculture ?
- Vous êtes demandeur d’emploi ? Voici vos options de financement !
- Salarié en poste ? Le financement de votre reconversion est possible !
- Étudiant ou en poursuite d’études ? Des aides existent pour vous !
- Et si vous deveniez apprenti ? L’alternance, la formule gagnante !
- Le récapitulatif : quelle aide pour quel profil ?
- Concrètement, on fait comment ? Votre plan d’action pour monter votre dossier
Avant de commencer : quel est le coût réel de la formation d’auxiliaire de puériculture ?
Les frais de scolarité, la partie visible de l’iceberg
Le prix de la formation d’auxiliaire de puériculture varie fortement selon l’institut. En moyenne, comptez environ 4 500 euros par an, mais certains établissements publics ou privés peuvent atteindre 7 315 euros plus 150 euros de frais administratifs.
Vous pourriez donc débourser entre 3 500 et 7 000 euros chaque année. Les instituts publics, souvent rattachés à des lycées professionnels, sont généralement moins onéreux que les écoles privées.
Exemple concret : à l’AP-HP (Assistance Publique des Hôpitaux de Paris), la formation est totalement gratuite pour les 17-26 ans. En Île-de-France, les écoles publiques ne demandent que 150 euros de frais d’inscription.
Les frais « cachés » à ne surtout pas oublier !
Derrière ces chiffres se cachent des dépenses supplémentaires qui pèsent lourd dans le budget. Le logement, si l’école est éloignée, représente une grosse part de l’enveloppe.
Comptez transports quotidiens (10-15 euros par jour), repas (3-5 euros à la cantine ou 8-10 euros si vous achetez votre déjeuner), fournitures (livres spécialisés à 30-50 euros, cahiers à 5-8 euros, stylos 4 couleurs à 2-3 euros), tenues de stage (blouse à 40-60 euros, chaussures professionnelles à 70-100 euros) et déplacements pour les stages.
Ces frais annexes peuvent facilement doubler votre investissement initial. Un budget de 200 à 400 euros pour les fournitures, plus le logement mensuel (400-800 euros selon la ville)… ça grimpe vite !
Existe-t-il des formations AP gratuites ?
Vous vous demandez si la gratuité est possible ? C’est rare, mais pas impossible ! Quelques lycées professionnels proposent cette option pour les moins de 18 ans n’ayant pas interrompu leurs études depuis plus d’un an.
L’AP-HP offre une formation totalement gratuite, mais le nombre de places est très limité (environ 20 par an) et l’accès très sélectif (1 candidat retenu sur 10 en moyenne).
La solution la plus courante reste la prise en charge via un organisme. Région, Pôle Emploi, CPF ou employeur peuvent couvrir les frais sous certaines conditions. Par exemple, les habitants de Provence-Alpes-Côte d’Azur bénéficient parfois d’une prise en charge à 100% du Conseil Régional en échange d’un engagement de travail local pendant 2 ans.
Pour tout comprendre du programme et des modules enseignés, découvrez ici le programme détaillé de la formation d’auxiliaire de puériculture.
Vous êtes demandeur d’emploi ? Vous êtes sur la bonne page pour financer votre formation
L’aide de France Travail : votre premier réflexe
Vous êtes inscrit à France Travail ? Bonne nouvelle ! Votre statut ouvre plusieurs portes. L’Aide Individuelle à la Formation (AIF) est une piste à creuser impérativement. Pour en bénéficier, il faut être inscrit depuis minimum 6 mois (sous réserve des conditions de votre conseiller). L’institut choisi doit être agréé, et votre projet doit s’inscrire dans votre Projet Personnalisé d’Accès à l’Emploi (PPAE), un document qui définit votre parcours professionnel avec France Travail.
TADAM ! Le dispositif Réussite concours peut vous offrir environ 665 €/mois, plafonné à 2 500 €/mois. Cet appui financier vient compléter d’autres aides. IMPORTANT : validez votre projet avec votre conseiller avant de vous inscrire. Le maintien de l’Allocation d’Aide au Retour à l’Emploi (ARE) pendant la formation dépendra de vos droits ouverts.
Pour bien démarrer, consultez le site officiel de France Travail. Votre conseiller est votre meilleur allié pour éviter les mauvaises surprises. Pensez à préparer des questions précises sur votre projet AP pour optimiser votre entretien.
Le Conseil Régional : un partenaire sur le long terme
Les régions investissent massivement dans les formations sociales et sanitaires. Être inscrit à France Travail depuis au moins 3 mois est souvent une condition obligatoire. Pas de financement alternatif ? C’est là que les Régions entrent en jeu !
Les montants varient selon l’endroit où se situe votre école (pas votre résidence). Des surprises vous attendent : 100% de la formation prise en charge en Auvergne Rhône Alpes, Corse, Grand-Est ou PACA. Les autres régions n’hésitent pas non plus : jusqu’à 6 600 € en Centre Val de Loire, 5 545 € en Île-de-France, 4 019 € en Nouvelle Aquitaine.
Les démarches ? Contactez le Conseil Régional de la zone géographique de votre école. Préparez votre projet de formation, vos devis et justificatifs d’inscription à France Travail. Une fois cette étape passée, il ne vous reste qu’à croiser les doigts pour que votre dossier soit accepté !
La Mission Locale : votre complice pour les moins de 26 ans
Moins de 26 ans ? La Mission Locale est un allié précieux. Elle vous guide dans le montage de votre projet et vous oriente vers des aides spécifiques. Besoin d’idées concrètes ? Voici les étapes à suivre impérativement :
- Prendre rendez-vous avec son conseiller France Travail pour valider son projet de formation AP.
- Faire établir plusieurs devis auprès des IFAP qui vous intéressent.
- Monter le dossier de demande d’AIF avec son conseiller.
- Contacter en parallèle le Conseil Régional de la région de l’école pour connaître leurs dispositifs.
- Ne signer aucun contrat de formation avant d’avoir un accord de financement écrit.
Ces étapes, bien que chronophages, sont des incontournables. Les aides existent, mais il faut agir pour les obtenir. Pas de place pour l’improvisation quand il s’agit de votre avenir professionnel !
Salarié en poste ? Le financement de votre reconversion est possible !
Envie de changer de voie et de vous tourner vers la petite enfance ? Votre expérience professionnelle est un atout ! Découvrez comment des dispositifs comme le CPF et le Projet de Transition Professionnel (PTP) peuvent transformer votre rêve en réalité. Pas besoin de tout quitter : vous gardez votre salaire tout en vous formant.
Le Compte Personnel de Formation (CPF) : votre cagnotte pour vous former
Le CPF est votre allié pour financer la formation d’auxiliaire de puériculture. Chaque année, votre compte s’alimente automatiquement en euros (jusqu’à 500 €/an pour un temps plein).
Accessible dès le premier jour de travail, il concerne tous les salariés, indépendants, et même les demandeurs d’emploi. Besoin de vérifier vos droits ? Direction www.moncompteformation.gouv.fr pour une réponse immédiate !
Si le montant est insuffisant, des abondements (via la Région ou France Travail) peuvent combler l’écart. Par exemple, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Conseil Régional prend en charge jusqu’à 6 600 € pour les métiers de la petite enfance. Important : déposez votre demande au moins 15 jours avant le début de la formation.
Le Projet de Transition Professionnel (PTP) : la solution pour une reconversion complète
Le PTP, c’est le Graal pour les salariés en reconversion. Il permet de suivre une formation tout en conservant votre rémunération. Le coût de la formation est pris en charge, avec un plafond de 18 000 €.
Pour en bénéficier, il faut justifier de 24 mois de travail (cumulés ou non) sur les 5 dernières années. L’accord de l’employeur est requis pour le congé, mais pas pour le projet lui-même. Par exemple, un intérimaire doit justifier de 1 600 heures travaillées dans la branche sur 18 mois.
Pour un Projet de Transition Professionnel, la clé du succès est un dossier en béton. Vous devez prouver que votre projet de devenir auxiliaire de puériculture est réfléchi, réaliste et solide.
En Île-de-France ou en Nouvelle-Aquitaine, certaines régions offrent des aides supplémentaires. Les personnes en situation de handicap peuvent aussi bénéficier d’un abondement spécifique via le Compte Professionnel de Prévention (C2P).
Et si votre employeur finançait la formation ?
Le plan de développement des compétences de votre entreprise peut parfois couvrir votre formation. C’est rare pour une reconversion totale, mais envisageable si votre projet profite à l’employeur. Exemple : intégrer une crèche d’entreprise.
Discutez-en avec votre responsable RH ! Une formation en alternance (contrat d’apprentissage ou de professionnalisation) pourrait aussi être une solution. Pour les débuteurs, le Contrat de Professionnalisation (Pro-A) permet de se former tout en restant salarié.
Étudiant ou en poursuite d’études ? Des aides existent pour vous !
Les bourses d’études sur critères sociaux
Vous sortez du lycée ou envisagez une réorientation ? Saviez-vous que des bourses régionales pouvaient couvrir une partie de vos frais ? Les Conseils Régionaux sont les principaux financeurs pour les formations sanitaires. Les montants varient de 1 042 à 5 736 euros/an, selon vos ressources et la région. En Nouvelle-Aquitaine par exemple, ces aides sont calculées sur un barème national.
Pas besoin d’être boursier du CROUS pour en bénéficier ! Rapprochez-vous du secrétariat de votre institut de formation (IFAP) pour les démarches. Certains conseils régionaux, comme en Occitanie, incluent même l’exonération des frais d’inscription dans le montant de la bourse. TADAM ! Important : vérifiez les dates limites de candidature. En Occitanie, les demandes pour la rentrée 2025 doivent être déposées avant le 31 juillet pour les 2e à 4e années, et avant le 31 octobre pour les 1ères années.
Le prêt étudiant : une solution à envisager sérieusement
Et si vous transformiez l’essai avec un prêt étudiant ? Jusqu’à 45 000 euros disponibles pour couvrir formation et frais annexes. Le gros avantage ? Un remboursement différé après vos études, avec des taux préférentiels. Besoin d’un garant ? Pas avec le prêt garanti par l’État !
Le prêt étudiant garanti par l’État est une super opportunité ! Il vous dispense d’avoir un garant (parents ou autre), ce qui lève un obstacle majeur pour beaucoup de candidats.
Pour convaincre votre banque, préparez un dossier solide : attestation d’inscription à l’IFAP, budget prévisionnel, et préparez votre entrée en IFAP. Le secret ? Démarrer les démarches avant l’inscription pour maximiser vos chances ! Si vous êtes en région Normandie ou Centre-Val de Loire, pensez à constituer un Dossier Social Étudiant (DSE) en parallèle. Ce document centralise vos informations sociales et facilite l’accès à d’autres aides complémentaires.
Et si vous deveniez apprenti ? L’alternance, la formule gagnante !
Vous rêvez de devenir auxiliaire de puériculture sans vous ruiner ? L’alternance est faite pour vous ! Zéro frais de formation, un salaire versé chaque mois, et une expérience pro concrète dès le départ. TADAM ! On vous dévoile pourquoi cette voie allie avantage financier et préparation optimale à votre futur métier.
Les deux types de contrats en alternance
Deux options s’offrent à vous pour suivre votre formation en alternance :
- Le contrat d’apprentissage : Réservé aux 15-25 ans (30 ans dans certaines régions). Vous alternez entre cours à l’IFAP et travail en crèche ou maternité. Votre salaire varie de 27% (486€ en 2025 pour les -18 ans) à 78% (1 405€ pour les 21-25 ans) du SMIC, en fonction de votre âge et de l’année d’apprentissage.
- Le contrat de professionnalisation (Pro-A) : Ouvert à tous, sans limite d’âge. Idéal pour les demandeurs d’emploi ou les personnes en reconversion. Rémunération entre 55% (990€ pour diplôme inférieur au bac) et 100% (1 801€) du SMIC, avec un statut de salarié à part entière. La majoration à 26 ans dépend d’un accord avec l’employeur.
Les avantages et les défis de l’alternance
Avantages ? On en a trouvé 4 à mettre en avant : formations prises en charge par l’employeur via son OPCO, salaire versé chaque mois, validation du DEAP en 18 mois seulement, et insertion professionnelle facilitée (80% des alternants trouvent un job dans les 6 mois après leur diplôme).
Le défi principal ? Trouver un employeur partant. Ce n’est pas toujours évident, mais tout est possible avec de la persévérance. Astuce : contactez directement des crèches, des hôpitaux, ou sollicitez votre Conseil Général pour des pistes. Participez à des forums métiers ou utilisez des plateformes comme RegionsJob ou Pôle Emploi pour identifier des offres d’alternance.
Vous voulez maximiser vos chances de réussite ? Jetez un œil à nos 6 conseils pour décrocher votre diplôme d’auxiliaire de puériculture. Parce que réussir votre formation, c’est déjà préparer votre avenir professionnel !
Le récapitulatif : quelle aide pour quel profil ?
Perdu(e) dans toutes ces informations ? Voici un tableau récapitulatif pour y voir plus clair et trouver le financement qui vous correspond.
Type d’aide | Pour qui ? (Profil) | Principaux avantages | Organisme à contacter |
---|---|---|---|
Financement Région | Demandeur d’emploi, parfois étudiant | Prise en charge élevée, jusqu’à 100% | Conseil Régional |
AIF | Demandeur d’emploi | Complète un financement, maintien des allocations | France Travail |
CPF | Salarié, Indépendant, Demandeur d’emploi | Utilisation d’une cagnotte personnelle, flexible | MonCompteFormation.gouv.fr |
Projet de Transition Pro (PTP) | Salarié en reconversion | Maintien du salaire, formation payée | Transitions Pro (régional) |
Bourse d’études | Étudiant / Formation initiale | Aide financière non remboursable | Conseil Régional / IFAP |
Prêt étudiant | Étudiant | Remboursement différé, taux bas | Banques |
Alternance | Tous profils (selon contrat) | Salaire + formation gratuite + expérience | Employeurs / CFA |
Chaque dispositif a ses règles. Le CPF concerne tous les statuts, l’AIF est réservé aux demandeurs d’emploi. Vérifiez votre éligibilité avant de postuler !
Concrètement, on fait comment ? Votre plan d’action pour monter votre dossier
Les étapes incontournables de votre demande
On vous dit tout ! La clé, c’est l’anticipation et la rigueur. Maintenant que vous connaissez les options, passons à l’action ! Voici la méthode à suivre pour construire un dossier de financement en béton.
- S’informer et choisir sa formation. Connaissez-vous le coût exact de l’IFAP visé ? Cela varie entre 3 500 € et 7 000 € par an selon l’établissement. Incluez aussi les frais annexes (logement, transport).
- Identifier les aides auxquelles vous avez droit. Utilisez le tableau des aides disponibles. Par exemple, les régions comme la Nouvelle-Aquitaine proposent des bourses variables. En Île-de-France, jusqu’à 5 545 €/mois sont possibles.
- Contacter les organismes. Pôle Emploi, France Travail, Mission Locale ou le Conseil Régional : prenez rendez-vous, téléchargez les dossiers. Chaque organisme a ses spécificités.
- Monter le dossier. Votre lettre de motivation est décisive. Mettez en avant votre projet pro, vos motivations et vos qualités. Une présentation irréprochable fait toute la différence.
IMPORTANT : Ne vous laissez jamais décourager par un premier refus ! Chaque demande est étudiée au cas par cas, et un recours est souvent possible.
Les documents essentiels à préparer
Pour chaque dossier de financement, voici ce que vous devez prévoir :
- Pièce d’identité en cours de validité.
- Devis de l’institut de formation (IFAP).
- Lettre de motivation claire et argumentée.
- CV à jour avec vos expériences pertinentes.
- Dernier avis d’imposition (pour les aides liées aux ressources).
- Attestation d’inscription à France Travail (si applicable).
Chaque organisme a ses propres exigences. Par exemple, pour une demande AIF à France Travail, vous devrez aussi fournir un devis validé par l’organisme de formation. Lisez attentivement les notices pour éviter les mauvaises surprises. TADAM !
Devenir auxiliaire de puériculture, c’est accessible sans vous ruiner ! Grâce aux aides régionales, au CPF, alternance et prêts étudiants, le financement est à portée de main. Renseignez-vous, préparez un dossier solide et agissez vite. Votre projet professionnel mérite d’être pris au sérieux – à vous de jouer !
FAQ
Comment financer ma formation d’auxiliaire de puériculture ?
Pour financer votre formation d’auxiliaire de puériculture, plusieurs options s’offrent à vous : – France Travail (ex-Pôle Emploi) : Si vous êtes demandeur d’emploi, le dispositif AIF peut compléter un financement. – Compte Personnel de Formation (CPF) : Utilisez vos droits accumulés, consultables sur MonCompteFormation.gouv.fr. – Projet de Transition Professionnelle (PTP) : Pour les salariés, ce dispositif permet de suivre la formation en conservant votre salaire. – Alternance : Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation, avec rémunération et formation gratuite. – Conseil Régional : Des prises en charge allant jusqu’à 100 % selon votre région. TADAM ! En fonction de votre profil, combinez ces aides pour réduire votre reste à charge.
Qui peut financer un titre d’auxiliaire de puériculture ?
Différents organismes peuvent prendre en charge votre formation : – Le Conseil Régional : Surtout pour les demandeurs d’emploi, avec des montants allant jusqu’à 6 600 € (ex. : Centre-Val de Loire). – France Travail : Via l’AIF, sous conditions d’ancienneté d’inscription et de cohérence avec votre projet pro. – Votre employeur : Par le biais du PTP ou du CPF, si vous êtes salarié. – La Région : Certaines régions comme Auvergne-Rhône-Alpes proposent une prise en charge totale. – Les organismes bancaires : Pour les prêts étudiants à taux préférentiels. IMPORTANT : Anticipez les démarches et contactez chaque acteur pour vérifier vos droits !
Comment obtenir un financement du Conseil Régional pour ma formation ?
Pour solliciter le Conseil Régional, voici les étapes : 1. Vérifiez les conditions : Être inscrit à France Travail (souvent depuis 3 mois), ne pas avoir d’autres financements. 2. Contactez le Conseil Régional de la région de l’IFAP (pas votre lieu de résidence). Ex. : En Île-de-France, jusqu’à 5 545 € sont proposés. 3. Préparez un dossier solide : Devis de l’école, CV, lettre de motivation. 4. Anticipez les délais : Les décisions peuvent prendre plusieurs semaines. Continuons… N’oubliez de mentionner votre statut (étudiant, demandeur d’emploi) pour maximiser vos chances !
Quel est le coût d’une formation d’auxiliaire de puériculture à distance ?
Le prix d’une formation à distance varie entre 3 500 et 7 000 € par an, selon l’institut. Attention cependant : les formations en ligne ne sont pas toujours éligibles aux aides classiques comme le CPF ou le PTP. Privilégiez les formations en présent ou en hybride, mieux reconnues par les financeurs. Si vous optez pour la distance, vérifiez d’abord la possibilité de financement via votre Conseil Régional ou votre conseiller France Travail. À savoir : certaines aides comme l’AIF ont des critères stricts pour les formations non présentielles.
Comment fonctionne le Fongecif ?
Le Fongecif (Fonds de Gestion du CIF) a été remplacé par le Projet de Transition Professionnelle (PTP) depuis 2019. Ce dispositif permet aux salariés de financer une reconversion, comme devenir auxiliaire de puériculture, en conservant leur salaire. Pour en bénéficier, il faut justifier d’une ancienneté (12 mois en CDI) et monter un dossier solide avec votre employeur et Transitions Pro. Si votre projet est validé, la formation est entièrement prise en charge, et vous percevez une rémunération équivalente à 90-100 % de votre salaire habituel. Cependant, l’accord de votre employeur est nécessaire pour les absences liées à la formation.
Quel est le prix d’une formation de puéricultrice ?
La formation de puéricultrice (diplôme d’État infirmier spécialisé) coûte entre 10 000 et 20 000 € en institut privé, contre gratuit en université publique. Elle dure 3 ans après le bac + 3 (master). Pour les boursiers, des aides complètes existent via les bourses de l’enseignement supérieur. Si vous êtes déjà auxiliaire de puériculture, certains cursus accélérés peuvent réduire le coût et la durée. Attention : cette voie est plus exigeante que celle d’AP, avec des concours sélectifs et des exigences de diplômes préalables.
Est-il possible de se faire financer une formation IBODE ?
Oui, mais avec des conditions strictes ! La formation IBODE (Infirmier(e) de Bloc Opératoire Diplômé(e) d’État) dure 1 an après un diplôme d’infirmier. Les aides principales sont : – Votre employeur hospitalier : Certaines structures prennent en charge les formations de leurs salariés. – Le PTP : Si vous êtes infirmier en poste, ce dispositif couvre les frais et prévoit une rémunération. – Le Conseil Régional : Rare, mais possible pour les reconversions validées dans les métiers de la santé. Si vous débutez, privilégiez d’abord le DEAP (auxiliaire de puériculture), plus accessible et moins coûteux. Ensuite, vous pourrez envisager l’IBODE avec une expérience professionnelle.
Quelle formation infirmière est prise en charge par l’hôpital ?
Les hôpitaux financent souvent les formations de leurs propres salariés, notamment : – DEES (Diplôme d’État d’Aide-Soignant) : Pour accéder aux métiers de l’aide-soignant(e). – Formation IBODE : Si vous êtes infirmier(ère) et que l’hôpital a un besoin en bloc opératoire. – Formations continues : Comme le DEAP pour les agents hospitaliers souhaitant évoluer. Pour en bénéficier, il faut être recruté(e) ou en poste dans l’établissement, et présenter un projet aligné avec les besoins de l’équipe. Contactez le service RH ou le centre de formation interne de votre hôpital pour plus d’infos.
Quel est le prix d’une formation de puéricultrice ?
La formation de puéricultrice (infirmière spécialisée) coûte entre 10 000 et 20 000 € en institut privé, contre gratuit en université publique. Elle dure 3 ans après un bac + 3 (licence en soins infirmiers). Les aides financières sont plus rares que pour l’AP, mais les bourses étudiantes (sur critères sociaux) peuvent couvrir une partie des frais. Si vous êtes déjà auxiliaire de puériculture, certaines passerelles accélérées existent, réduisant le coût et la durée. Conseil : vérifiez si votre région finance les métiers de la petite enfance via son Conseil Régional, cela pourrait compléter votre budget.