Vous rêvez de vous occuper des tout-petits ? La formation d’auxiliaire de puériculture (DEAP), diplôme d’État niveau 4, se prépare en 1 an (1540 heures) pour accompagner les enfants de 0 à 6 ans. Accessible dès 17 ans via un dossier et un entretien, elle combine théorie et stages pratiques, ouvrant à des métiers en crèche, maternité ou pédiatrie. Exigeant patience, empathie et organisation, elle offre un taux d’emploi de 71 %, avec des débouchés variés. Pour maximiser vos chances, découvrez notre méthode pour Réussir son diplôme auxiliaire de puériculture en cliquant ici !
Vous rêvez de travailler avec les tout-petits mais l’idée de la formation auxiliaire puériculture vous stresse ? Pas de panique : on vous dévoile ici TOUT ce qu’il faut savoir pour franchir le pas sereinement ! De la sélection sur dossier aux 1540 heures de théorie et stages en passant par le salaire auxiliaire de puériculture, ce guide complet répond à vos questions avant même que vous les posiez. Préparez-vous à découvrir un métier riche de sens, accessible dès 17 ans, et qui ouvre des portes vers des carrières en pédiatrie, PMI ou même vers des diplômes supérieurs grâce à des passerelles stratégiques !

- La formation d’auxiliaire de puériculture en bref : L’essentiel à savoir !
- Le métier d’auxiliaire de puériculture : missions, qualités et lieux d’exercice
- Comment intégrer la formation d’auxiliaire de puériculture ? Le guide de la sélection
- Au cœur du DEAP : le programme de formation décortiqué
- La formation d’auxiliaire de puériculture est-elle difficile ? La réalité du terrain
- Et après le DEAP ? Salaire, débouchés et évolutions de carrière
La formation d’auxiliaire de puériculture en bref : L’essentiel à savoir !
Vous rêvez de travailler avec les tout-petits ? La formation auxiliaire puériculture est peut-être faite pour vous ! On vous dit tout ce qu’il faut savoir.
Le Diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture (DEAP) est un diplôme de niveau Bac reconnu par l’État. Indispensable pour exercer légalement dans les crèches, maternités ou services pédiatriques, il se prépare en 1 an (1540 heures) avec théorie et stages.
Les candidats doivent avoir au moins 17 ans et passer une sélection sur dossier et entretien. Ce diplôme forme à accompagner des enfants de la naissance à 6 ans dans des structures variées.
À la sortie, vous pourrez travailler en crèche, maternité, PMI ou service pédiatrique. Un métier en demande avec 71 % des diplômés en emploi 6 mois après leur formation !
Pour aller plus loin et mettre toutes les chances de votre côté, découvrez notre méthode pour Réussir son diplôme auxiliaire de puériculture.
C’est quoi exactement, le diplôme d’auxiliaire de puériculture ?
Le DEAP est un diplôme paramédical formant en 1 an des professionnels capables de prodiguer des soins quotidiens et d’animer des activités d’éveil. Reconnu par tous les employeurs, il donne accès à de nombreuses structures.
Pour qui est faite cette formation ?
Pour celles et ceux sensibles au bien-être des enfants de 0 à 6 ans, avec fibre pédagogique, empathie et capacité à travailler en équipe. Aucun diplôme préalable n’est requis, mais il faut aimer les défis et être organisé(e).
Combien de temps ça dure et où ça mène ?
1540 heures de formation intensive entre théorie et stages pratiques. À la sortie, vous serez opérationnel(le) pour travailler en crèche, maternité, PMI ou service pédiatrique. Une profession porteuse d’avenir !
Le métier d’auxiliaire de puériculture : missions, qualités et lieux d’exercice
Vous rêvez de travailler avec les enfants ? Découvrez si le métier d’auxiliaire de puériculture correspond à vos attentes. Ce métier allie soins quotidiens et éveil éducatif, en s’adaptant à chaque enfant. En tant que professionnel, vous serez au cœur de leur développement, en collaboration avec une équipe pluriprofessionnelle.
Quelles sont les missions au quotidien ?
La journée type débute par l’accueil des enfants : vous aidez à la séparation avec les parents, surveillez leur état de santé, et préparez les repas. Vos tâches alternent entre soins courants (toilette, alimentation, surveillance) et activités d’éveil (jeux, lectures, découvertes sensorielles). Par exemple, en maternité, vous préparez les biberons ou guidez les jeunes parents sur les bons gestes. En crèche, vous encadrez des activités motrices comme les parcours de motricité ou les jeux d’eau.
Pour vous projeter, consultez ce guide détaillé sur les missions de l’auxiliaire de puériculture et ses lieux d’exercice. Vos interventions varient selon l’âge de l’enfant : un nourrisson nécessite plus de soins corporels, tandis qu’un enfant plus grand profite d’activités de manipulation ou de jeux symboliques (dînette, poupées). Vous serez aussi amené à rédiger des comptes-rendus pour transmettre des observations aux collègues ou aux parents.
Les qualités indispensables pour devenir auxiliaire de puériculture
Être AP, c’est une vocation nécessitant des compétences précises :
- Qualités humaines : la patience pour accompagner les apprentissages, l’empathie pour comprendre les émotions, la douceur dans les gestes quotidiens, la bienveillance envers les enfants et leur famille, et une capacité d’écoute pour capter les signaux subtils de l’enfant.
- Stabilité émotionnelle : garder son calme face aux imprévus, comme les colères ou les pleurs, tout en restant à l’écoute.
- Organisation : la rigueur pour suivre les protocoles d’hygiène stricts, l’autonomie pour gérer votre emploi du temps entre soins et animations, et la fiabilité pour appliquer les consignes.
- Créativité : innover pour captiver l’attention avec des jeux adaptés à leur âge et besoins, comme des activités sensorielles (peinture, sable) ou des comptines.
Ces qualités sont essentielles pour rassurer les enfants, stimuler leur développement de l’enfant, et valider le diplôme d’État, qui atteste de vos compétences professionnelles.
Où peut-on travailler avec un DEAP en poche ?
Le diplôme d’État ouvre à des lieux variés :
- Crèches : structures municipales ou privées (micro-crèches, haltes-garderies). Vous y accompagnez le développement des enfants en groupe, en alternant temps calmes et activités dynamiques.
- Hôpitaux : maternités pour les nouveau-nés, services de néonatalogie ou pédiatrie pour les enfants malades. Là, vous collaborez étroitement avec l’équipe soignante pour des soins adaptés.
- Secteur social : centres de PMI, pouponnières, ou établissements spécialisés. Votre rôle s’élargit à l’accompagnement des familles dans ces structures, avec un focus sur les enfants en situation de handicap ou vulnérables.
Avec votre DEAP, vous choisissez entre travail en collectivité ou milieu médical. Des perspectives d’évolution existent vers des formations complémentaires, comme le diplôme d’éducateur de jeunes enfants ou infirmier, après quelques années d’expérience.
Comment intégrer la formation d’auxiliaire de puériculture ? Le guide de la sélection
Les conditions d’accès : qui peut postuler ?
Vous rêvez de devenir auxiliaire de puériculture mais la sélection vous stresse ? On vous dit tout !
Pour commencer, sachez qu’il faut avoir au moins 17 ans à la date d’entrée en formation. Bonne nouvelle : aucun diplôme n’est obligatoire pour candidater ! Cependant, certains parcours scolaires donnent un avantage. Exemples : le Bac Pro ASSP (Accompagnement, Soins et Services à la Personne), le Bac ST2S (Sciences et Technologies de la Santé et du Social) ou encore le Bac Pro SAPAT (Services aux Personnes et Animateur en Milieu Territorial). Ces formations montrent déjà votre intérêt pour le soin et l’accompagnement des jeunes enfants.
À moins de 17 ans, la porte est fermée, mais rassurez-vous : si vous avez le bac ou un niveau équivalent, vous êtes dans les clous. Le diplôme obtenu à la fin est reconnu par l’État, et ouvre directement aux métiers en crèche, maternité ou service pédiatrique.
Le dossier de sélection : votre première vitrine
La sélection sur dossier est votre premier défi. Votre CV, votre lettre de motivation et vos justificatifs scolaires doivent briller. Pourquoi ? Car c’est votre chance de prouver que votre projet professionnel est solide.
La lettre de motivation est cruciale. Elle doit refléter votre passion pour les enfants, vos qualités humaines (comme l’empathie ou la communication) et votre volonté de suivre une formation exigeante. Un conseil : soyez précis ! Parlez d’expériences passées avec les enfants, de stages ou de bénévolats. TADAM ! C’est ce qui fera la différence.
Pour tout savoir sur les épreuves et les modalités d’inscription, consultez notre guide complet sur le concours d’auxiliaire de puériculture.
L’entretien oral : comment convaincre le jury ?
L’entretien oral évalue votre motivation et vos aptitudes attendues. Le jury veut savoir si vous avez le profil pour ce métier exigeant mais gratifiant. Voici ce qu’ils cherchent :
- Votre intérêt pour le soin et la petite enfance.
- Vos qualités humaines : écoute, empathie, communication.
- Votre maîtrise du français et du calcul de base.
- Vos capacités d’organisation et votre autonomie.
Pour convaincre, préparez des exemples concrets. Parlez d’un stage en crèche, d’un bénévolat en pédiatrie ou même d’une expérience personnelle avec des enfants. Le jury veut sentir votre passion, pas juste des mots. Et si vous bloquez sur une question ? Restez calme, respirez, et répondez avec authenticité. L’important est de montrer que vous avez conscience des défis du métier, comme les horaires atypiques ou la gestion du stress.
À savoir : 71 % des élèves trouvent un emploi 6 mois après la formation. Alors, si vous réussissez la sélection sur dossier et l’entretien, votre avenir professionnel s’annonce prometteur !
Au cœur du DEAP : le programme de formation décortiqué
La théorie : les 5 blocs de compétences à maîtriser
Le diplôme d’État d’auxiliaire de puériculture (DEAP) repose sur un programme de formation structuré en 5 blocs de compétences couvrant 10 modules au total. Cette formation complète de 1540 heures se divise en 770 heures d’enseignement théorique en institut de formation (IFAP) et 770 heures de stages pratiques, pour vous préparer à un métier à la fois exigeant et enrichissant.
Bloc de compétence | Modules associés | Objectifs clés |
---|---|---|
Bloc 1 – Accompagnement et soins de l’enfant dans les activités de sa vie quotidienne et de sa vie sociale | Module 1 : Accompagnement d’un enfant dans les activités de sa vie quotidienne Module 1bis : Activités d’éveil, loisirs et éveil social Module 2 : Prévention des risques |
Maîtriser l’hygiène, l’alimentation, favoriser l’autonomie, assurer la sécurité |
Bloc 2 – Évaluation de l’état clinique et soins adaptés | Module 3 : Évaluation de l’état clinique Module 4 : Réalisation de soins Module 5 : Accompagnement des déplacements |
Apprendre à évaluer l’état de l’enfant, réaliser des soins quotidiens et guider les mouvements |
Bloc 3 – Communication et accompagnement | Module 9 : Communication avec les familles Module 7 : Formation des collègues |
Perfectionner votre communication, accompagner les proches, transmettre aux équipes |
Bloc 4 – Entretien des espaces et prévention des risques | Module 8 : Nettoyage et prévention des infections | Maîtriser le nettoyage, la désinfection et la prévention des contaminations |
Bloc 5 – Travail d’équipe et gestion des données | Module 9 : Organisation des informations Module 10 : Collaboration en équipe |
Apprendre à organiser son travail, coopérer avec les professionnels de santé |
La pratique : l’importance capitale des stages
Les stages pratiques représentent la moitié de votre formation. Vous vivrez 22 semaines de mise en situation professionnelle réparties en 4 périodes : 3 stages de 5 semaines et 1 stage final de 7 semaines.
Ces compétences professionnelles s’acquièrent sur le terrain, dans des environnements variés :
- Maternités ou services de néonatalogie
- Crèches ou pouponnières
- Services pédiatriques
- Structures spécialisées pour enfants en situation de handicap
Un stage minimum doit concerner des enfants en situation de handicap. C’est lors de ces stages que vous validerez vos acquis théoriques et renforcerez votre professionnalisme. Pour réussir cette étape cruciale, consultez notre guide complet sur les stages qui vous donnera toutes les clés pour réussir.
Les différentes voies d’accès : formation initiale, apprentissage, VAE…
L’accès au DEAP s’effectue par plusieurs voies :
- Formation initiale : Parcours classique de 11 à 12 mois pour les candidats de 17 ans minimum, avec un accompagnement pédagogique individualisé (API) pour vous aider à intégrer les 10 modules du programme
- Apprentissage : Formation en alternance de 16 mois, rémunérée comme un contrat de travail, avec de bons résultats : 100% de réussite et 50% d’embauches en 6 mois selon les données de la Croix-Rouge Compétence en 2024
- Formation continue : Formule adaptée aux professionnels souhaitant évoluer ou se reconvertir, avec un parcours personnalisé selon votre expérience
- VAE : Pour faire reconnaître votre expérience professionnelle ou personnelle, avec un accompagnement personnalisé et des financements possibles via le CPF
Le programme de formation complet avec ses 10 modules vous prépare à exercer légalement. Approfondissez les modules via notre guide complet des modules qui explique en détail chaque étape de votre apprentissage.
La formation d’auxiliaire de puériculture est-elle difficile ? La réalité du terrain
Alors, concrètement, est-ce que la formation d’auxiliaire de puériculture est difficile ? La réponse est claire : oui, elle est exigeante, mais tout à fait accessible si vous avez la bonne approche. La difficulté formation réside dans la densité du programme et l’alternance intense entre théorie et stages. Nos 6 conseils pour réussir votre DEAP vous guideront pour surmonter ces défis.
En 11 mois, vous devez assimiler 1 540 heures de cours en hygiène, psychologie et puériculture, tout en enchaînant les stages en crèche, maternité ou pédiatrie. Pourquoi est-ce un défi ? Parce que la charge de travail est soutenue, avec des connaissances à digérer rapidement. Mais avec de la méthode, c’est réalisable. La formation prépare aussi à la communication avec des équipes médicales ou des familles en difficulté.
La charge de travail : un rythme à ne pas sous-estimer
C’est un marathon, pas un sprint ! La formation alterne périodes théoriques (anatomie, soins, développement de l’enfant) et stages en immersion. L’intensité des stages exige une adaptation constante : un jour en crèche, le lendemain en néonatologie, avec des horaires variables. Cela demande une gestion rigoureuse de votre temps et des priorités.
Les enseignements sont exigeants : maîtriser l’hygiène hospitalière, comprendre les besoins psychologiques des enfants, ou encore apprendre à communiquer avec les familles. Sans oublier les évaluations régulières sous diverses formes. Mais ces défis préparent à la réalité du métier : un quotidien riche mais complexe.
Les défis émotionnels du métier
Préparez-vous à une gestion des émotions intense. En stage, vous serez confronté(e) à des enfants malades, des parents angoissés, voire à des situations de fin de vie. Comment réagir ? La formation vous apprend à garder une distance professionnelle tout en restant bienveillant, grâce à des modules sur la gestion du stress et la communication.
Saviez-vous que 71% des diplômés trouvent un emploi en 6 mois ? Mais pour y arriver, il faut traverser cette année cruciale. Réussir son diplôme implique de cultiver la résilience. Une étudiante témoigne : « En maternité, soutenir des parents en deuil m’a marquée. La formation m’a appris à gérer ces émotions sans m’épuiser. » D’autres stagiaires évoquent la vigilance extrême en néonatologie pour éviter les accidents, forgeant des professionnels solides et empathiques.
Vous avez votre diplôme ! Et maintenant ?
Bravo, vous êtes diplômé(e) ! Le marché du travail vous attend. Sachez que 71 % des auxiliaires de puériculture trouvent un emploi dans les 6 mois suivant leur formation. Le secteur est en demande constante de professionnels formés. Et si vous rêvez de grimper les échelons, on vous dit tout sur le salaire auxiliaire de puériculture et les perspectives professionnelles qui s’ouvrent à vous.
Quel salaire pour une auxiliaire de puériculture ?
En début de carrière, comptez environ 1 300 € nets par mois dans le public, sans compter les primes. Si vous travaillez de nuit, week-ends ou jours fériés, des suppléments viennent booster votre revenu. En milieu hospitalier ou en crèche municipale, ces primes peuvent atteindre +150 €/mois. Avec l’expérience, votre rémunération peut grimper jusqu’à 2 300 € nets en fin de carrière, surtout si vous accumulez les spécialisations (néonatalogie, handicap, etc.).
Les perspectives d’évolution : que faire après plusieurs années d’expérience ?
Votre insertion professionnelle est solide, mais ce n’est pas une impasse ! Si vous avez le bac, vous pouvez intégrer une formation d’infirmier via Parcoursup. Sans bac, après 3 ans d’expérience, des épreuves spécifiques vous permettent d’accéder au diplôme d’infirmier. Autre piste : le diplôme d’État d’éducateur de jeunes enfants (EJE) pour encadrer des enfants en structures diverses. Ces poursuites d’études ouvrent des portes vers des postes plus responsables et mieux rémunérés. Envie de monter en grade ? Devenir cadre en crèche ou spécialiste en soins pédiatriques est aussi possible avec des formations complémentaires.
En résumé, le DEAP est une porte d’entrée vers des évolutions de carrière variées. Que vous choisissiez de rester dans le soin quotidien ou de bifurquer vers l’éducation ou la santé, vos compétences restent précieuses. Il ne vous reste plus qu’à poser les bases de votre réussite !
Finalement, la formation d’auxiliaire de puériculture (DEAP) est exigeante mais gratifiante, ouvrant à un métier humain et riche de sens. Avec un taux d’emploi élevé et des débouchés vers infirmier ou éducateur jeunes enfants, elle allie passion et stabilité. Si cette voie vous parle, notre méthode vous guidera vers votre objectif !
FAQ
Quel parcours pour devenir auxiliaire de puériculture ?
TADAM ! Pour devenir auxiliaaire de puériculture, il faut obtenir le Diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture (DEAP), un diplôme niveau 4 (équivalent Bac). Le parcours commence par une sélection sur dossier et entretien, sans concours écrit. Vous devez avoir au moins 17 ans et présenter une lettre de motivation mettant en avant votre intérêt pour la petite enfance. Des parcours comme le Bac pro ASSP ou ST2S sont un plus pour montrer votre motivation. Une fois admis(e), vous suivrez une formation de 1 an, avec 770 heures de théorie et 770 heures de stages en crèche, hôpital ou PMI. Et si vous avez de l’expérience professionnelle pertinente, la VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) peut être une voie d’accès !
Quelle est la durée de la formation d’auxiliaire de puériculture ?
La formation dure 1 an, soit 1540 heures au total. Elle se divise en deux parties : 770 heures de théorie (cours, ateliers pratiques) et 770 heures de stages en milieu professionnel. Pendant les stages, vous alternerez entre crèches, maternités ou services pédiatriques pour mettre en pratique vos connaissances. Si vous optez pour l’apprentissage, la durée peut varier légèrement selon les contrats, mais le contenu reste le même. Et pour les personnes en reconversion, la formation continue ou la VAE sont des options à explorer !
Est-ce que la formation d’auxiliaire de puériculture est difficile ?
On va être honnête : la formation est exigeante, mais tout à fait accessible avec de la motivation ! Vous devrez jongler entre cours théoriques (hygiène, développement de l’enfant) et stages intenses en milieu professionnel. Le rythme est soutenu, avec des évaluations régulières et des situations émotionnellement complexes (enfants malades, familles en difficulté). C’est un marathon, pas un sprint : organisation, gestion du stress et envie de progresser sont vos meilleurs alliés. Heureusement, les formateurs sont là pour vous guider, et des ressources comme des fiches de révision peuvent vous booster pendant l’année !
Est-ce que la formation auxiliaire de puériculture est rémunérée ?
Eh bien, ça dépend de votre voie d’accès ! La formation classique (temps plein) n’est pas rémunérée, mais des bourses ou aides peuvent atténuer le coût. En revanche, l’apprentissage vous permet de percevoir un salaire (entre 55 % et 100 % du SMIC selon votre âge). Pour les professionnels en reconversion, la formation continue peut être prise en charge via votre employeur ou votre compte de formation. Enfin, la VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) est payante, mais les frais sont parfois couverts par votre région ou votre entreprise. À noter : les stages ne sont pas rémunérés, mais indispensables pour valider votre DEAP !
Est-il possible de devenir auxiliaire de puériculture sans passer par un concours ?
Oui, bonne nouvelle ! Le concours écrit a disparu depuis quelques années. Aujourd’hui, l’accès à la formation se fait uniquement sur dossier et entretien oral. Votre lettre de motivation sera donc votre meilleure alliée : montrez votre passion pour la petite enfance, vos qualités humaines (patience, empathie) et vos connaissances du métier. L’entretien permettra au jury d’évaluer votre motivation et vos aptitudes relationnelles. Pas de bac ? Pas de panique : même sans diplôme, vous pouvez postuler si vous démontrez un projet cohérent. Et si vous avez déjà travaillé avec des enfants, mentionnez-le dans votre dossier, c’est un atout majeur !
Quel est le salaire net d’un auxiliaire de puériculture ?
En début de carrière, comptez environ 1 300 € nets par mois (hors primes) dans le secteur public, et un peu plus dans le privé. Avec l’ancienneté, ce salaire peut grimper jusqu’à 2 300 € nets. Les primes (ex : prime de service public, astreintes) peuvent aussi alourdir votre fiche de paie. Et si vous êtes en poste à temps partiel ? Vérifiez bien les modalités de rémunération avec votre employeur. Le conseil : n’hésitez pas à comparer les offres entre crèches, hôpitaux ou structures privées pour optimiser vos revenus !
Quel est le prix de la formation auxiliaire de puériculture ?
Bonne nouvelle : la formation est gratuite dans les instituts publics (IFAP) gérés par le ministère de la Santé. En revanche, les frais de dossier (environ 100 €) et le coût des livres, déplacements ou hébergement peuvent s’ajouter. Pour les formations en alternance, c’est l’employeur qui prend en charge les frais, et vous percevrez même un salaire. Si vous passez par la VAE, prévoyez entre 1 000 et 2 000 € pour le dossier, mais des financements via le CPF ou votre région sont souvent possibles. En cas de doute, contactez directement l’IFAP de votre choix pour obtenir un devis détaillé !
Comment entrer à l’école d’auxiliaire de puériculture ?
Pas de bac à l’horizon ! L’entrée à l’IFAP repose sur 3 étapes : 1. Le dossier (CV, lettre de motivation, bulletins scolaires) où vous montrez votre passion pour le métier. 2. L’entretien (15-30 min) pour convaincre du jury de votre motivation et de vos qualités humaines (écoute, empathie). 3. L’âge : vous devez avoir 17 ans minimum à l’entrée en formation. Et si vous avez déjà travaillé avec des enfants, mentionnez-le : c’est un vrai plus ! Le conseil ultime ? Travaillez votre lettre de motivation pour qu’elle reflète votre authenticité. Et pour les révisions, notre pack de fiches vous prépare aux questions types de l’entretien !
Quelles sont les conditions pour devenir auxiliaire de puériculture à son compte ?
Le métier d’auxiliaire de puériculture est majoritairement exercé en structure (crèche, hôpital), mais il est possible de se lancer en freelance ! Pour cela, vous pouvez devenir auto-entrepreneur et intervenir à domicile (garde d’enfants, activités d’éveil). Attention : vous devrez suivre une formation complémentaire (ex : CAP Petite Enfance) et respecter les normes d’agrément pour les assistantes maternelles. Autre option : intégrer un réseau d’aide à domicile (ex : Cap Avantages) pour bénéficier d’un encadrement. Le mot d’ordre ? Renseignez-vous sur les démarches administratives (réglementation, déclaration au RIB) avant de vous lancer !