Vous rêvez de devenir auxiliaire de puériculture ? La formation dure en moyenne 11 mois (1540 heures), moitié théorie (770 heures en IFAP) et moitié stages (770 heures sur le terrain). Titulaire d’un CAP AEPE ? Vous gagnez 2 mois ! En alternance, comptez 18 mois avec un statut salarié. Pas de diplôme requis, mais un profil motivé, avec des qualités humaines (patience, empathie) et organisationnelles. Le DEAP, niveau Bac, s’obtient via contrôle continu et stages validés. Une fois diplômé(e), vous accompagnez les enfants au quotidien, en crèche ou en milieu hospitalier. Prêt(e) pour ce métier riche en sens ?

Vous vous demandez si la formation auxiliaire de puériculture durée va chambouler votre emploi du temps ?
On vous dit tout : entre 11 mois en cursus classique (1540h), préparez-vous à un parcours intense mais complet, avec 50% de théorie en IFAP et 50% de stages en crèches, maternités ou pédiatrie.
- La durée de la formation d’auxiliaire de puériculture : tout ce qu’il faut savoir !
- Les parcours spécifiques : quand la durée s’adapte à votre profil
- Comment s’organise la formation ? de la sélection au diplôme
- Au cœur du programme : 1540 heures pour devenir un(e) pro de la petite enfance
- Les aspects pratiques : financement, rémunération et soutien, on vous dit tout !
- Et après la formation ? valider son diplôme et se lancer dans le métier
La durée de la formation d’auxiliaire de puériculture : tout ce qu’il faut savoir !
Vous rêvez de travailler avec les tout-petits et vous vous demandez combien de temps dure la formation d’auxiliaire de puériculture ? On vous dit tout, sans détour !
La formation complète pour obtenir le Diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture (DEAP) dure en général 11 mois. Cela représente un volume total de 1540 heures, réparti de manière égale entre enseignement théorique et pratique. Curieux de savoir comment cela se décompose ? On vous explique tout !
La formation est divisée en deux parties équilibrées :
- 770 heures de formation théorique (22 semaines) dispensées dans un Institut de Formation d’Auxiliaire de Puériculture (IFAP).
- 770 heures de formation pratique (22 semaines) sous forme de stages en milieu professionnel.
Cet équilibre entre théorie et pratique est la clé pour maîtriser à la fois les fondamentaux et les gestes concrets. Vous ne serez pas lâché(e) dans le grand bain sans filet !
Petite précision importante : si vous êtes titulaire d’un CAP Accompagnement Éducatif Petite Enfance (AEPE), la durée peut être réduite à 9 mois. En revanche, pour une formation en alternance ou en apprentissage, prévoyez 18 mois. Et pour ceux qui ont une expérience professionnelle, la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) est une option viable sur 12 à 24 mois.
Le diplôme à la clé ? Le DEAP (Diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture), un diplôme de niveau 4 (équivalent au bac). C’est une vraie carte de visite pour votre carrière future !
Les périodes de congés sont aussi à noter : 3 semaines pour une rentrée en septembre, 4 semaines pour une rentrée en janvier. Pas de quoi perdre le fil de votre apprentissage.
Mais attention, cette durée « standard » peut varier selon votre parcours, vos acquis ou votre rythme. Pas de panique, on vous guide pas à pas dans les prochaines étapes pour y voir plus clair. Prêt(e) à explorer les détails ?
Les parcours spécifiques : quand la durée s’adapte à votre profil
Bonne nouvelle ! Votre parcours avant d’entrer en formation peut vous faire gagner du temps. TADAM ! Voyons les cas possibles.
Les cursus partiels : quand vos diplômes accélèrent votre formation
Les titulaires d’un diplôme du secteur sanitaire ou social bénéficient de dispenses de modules. Par exemple, les CAP AEPE voient leur formation réduite à 9 mois grâce à des allègements sur des modules comme la communication (Module 6) ou l’entretien d’espaces (Module 8). Pour les Bac Pro ASSP/SAPAT, les modules d’hygiène (Module 8) ou de traitement des données (Module 9) sont souvent allégés, évitant de réapprendre ce que vous maîtrisez déjà.
Les diplômes comme aide-soignant ou ambulancier offrent aussi des équivalences, notamment pour la mobilité (Module 5) ou la gestion des risques (Module 10). Ces dispenses s’appliquent aussi à des formations comme le DEAES ou l’assistant de vie aux familles. Par exemple, un aide-soignant économise 728 heures de théorie, avec un cursus ramené à 812 heures.
En apprentissage : allier rémunération et apprentissage
L’apprentissage s’étale sur 18 mois au lieu de 11 mois. Rémunéré(e) par votre employeur (entre 27 % et 78 % du SMIC selon votre âge), vous alternez semaines en entreprise et blocs de cours. Votre employeur couvre souvent les frais de scolarité et vous intégrez un réseau pro. Selon les régions, plus de 70 % des apprentis trouvent un emploi dans les 6 mois après le diplôme.
La VAE : valoriser votre expérience professionnelle
La VAE permet d’obtenir le diplôme via un jury, sans formation classique. Le parcours dure entre 12 et 24 mois. Un accompagnement peut structurer votre demande. Si vous avez 3 ans d’expérience en petite enfance (en crèche, halte-garderie ou à domicile), cette voie évite de suivre des cours inutiles. Vous démontrez votre savoir-faire dans des situations réelles, évaluées par un jury.
Type de parcours | Durée totale | Public concerné | Spécificités |
---|---|---|---|
Cursus complet | 11 mois (1540h) | Tous candidats | 50% théorie, 50% stages |
Cursus partiel (ex: post-CAP AEPE) | Environ 9 mois | Titulaires de diplômes spécifiques | Allègement de certains modules |
Apprentissage / Alternance | 18 mois | Candidats ayant un contrat d’apprentissage | Formation rémunérée et étalée |
VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) | 12 à 24 mois | Professionnels avec expérience | Obtention sur la base d’un dossier et d’un oral |
Comment s’organise la formation ? de la sélection au diplôme
Ok, la durée c’est plus clair. Mais concrètement, comment on rentre en formation et où ça se passe ? Pas de panique, on vous guide pas à pas. Saviez-vous que la sélection se fait sans épreuves écrites depuis 2020 ? Focus sur les étapes clés et les astuces pour maximiser vos chances de réussite.
Les conditions d’admission
Pas besoin de bac ni de diplôme spécifique pour intégrer la formation. Un seul critère : avoir 17 ans minimum à la date d’entrée en formation. Aucune limite d’âge maximale, juste une motivation à toute épreuve !
Depuis 2020, la sélection se fait sur dossier et entretien oral – fini les épreuves écrites ! Besoin de constituer un dossier solide, puis de convaincre un jury en entretien. Pour tout savoir sur les secrets de la sélection et bien préparer votre oral, direction ce guide complet. Attention, certaines IFAP ferment leurs inscriptions dès juin, d’autres ouvrent en janvier pour des rentrées d’octobre – vérifiez les dates précises directement sur leur site.
Les qualités attendues
Les diplômes ? Accessoires. Les vraies armes ? Vos qualités humaines. Le jury cherche :
- Une vraie passion pour l’accompagnement des enfants et des familles, fondamentale pour évoluer dans ce métier
- Patience, empathie, écoute : vos atouts pour gérer les imprévus du quotidien
- Un calme à toute épreuve face au stress, indispensable en crèche ou en maternité
- Un sens de l’organisation à toute épreuve pour respecter les plannings de soins
- Des compétences en communication orale et écrite pour échanger avec les équipes et les parents
Le lieu de formation : l’IFAP
Votre formation aura lieu dans un Institut de Formation d’Auxiliaire de Puériculture (IFAP), seul organisme habilité pour ce diplôme. Public ou privé, chaque IFAP fixe ses propres dates de sélection et modalités d’inscription. À noter : les places sont limitées – en moyenne 3 candidats pour une place dans les établissements les plus accessibles. Ne tardez pas à vous renseigner sur les établissements près de chez vous !
L’essentiel n’est pas votre diplôme de départ, mais votre motivation et vos qualités humaines. C’est ce que le jury cherchera à évaluer lors de votre entretien.
Au cœur du programme : 1540 heures pour devenir un(e) pro de la petite enfance
La théorie : 770 heures pour construire une base solide
Maintenant qu’on a décrypté les bases, plongeons dans le cœur du programme ! Vos 770 heures de théorie, réparties en 10 modules, sont organisées selon un cadre officiel (arrêté du 10 juin 2021). Vous y croiserez 5 grands blocs regroupant 11 compétences : de l’accompagnement des enfants à la collaboration en équipe médicale.
Le programme démarre fort avec l’Accompagnement Pédagogique Individualisé (API) et les Travaux Personnels Guidés (TPG), des dispositifs pour consolider vos connaissances. Besoin de détails ? Découvrez le détail de chaque module pour saisir l’ensemble des sujets abordés !
De la gestion des risques à l’analyse clinique, chaque heure compte. Sans oublier la formation numérique intégrée en 2025 ! Important : vous pouvez suivre jusqu’à 70% de ces heures en distanciel, une flexibilité bienvenue pour les futurs auxiliaires pressés.
La pratique : 770 heures pour vous former sur le terrain
La théorie c’est bien, mais les stages, c’est encore mieux ! Vos 770 heures s’organisent en 4 périodes : 3 stages de 5 semaines et un stage final de 7 semaines. Vous alternerez entre crèche, halte-garderie, maternité et pédiatrie, pour une expérience complète.
Et devinez quoi ? Un stage en milieu hospitalier est OBLIGATOIRE. C’est là que vous croiserez des spécialistes, apprendrez à collaborer avec des équipes médicales et développerez votre sens des responsabilités. Besoin de conseils ? Pour bien préparer vos périodes de stage, des ressources existent !
Chaque stage est une opportunité unique de mettre en application vos connaissances, de développer vos compétences et de confirmer votre projet professionnel au contact des enfants et des équipes.
À noter : vous devrez vivre des nuits et week-ends de travail, pour vous préparer à la réalité du métier. Le tout documenté dans un portfolio pour suivre votre progression. Vous sentez l’adrénaline monter ?
Et maintenant… Quel est le coût de la formation ?
Entre les 1540 heures de formation et l’exigence des stages, on comprend que vous vous posiez des questions financières. Rassurez-vous : subventions, aides régionales et dispositifs spécifiques existent pour soutenir votre parcours. Mais parlons-en en détail dans la prochaine partie !
Les aspects pratiques : financement, rémunération et soutien, on vous dit tout !
Se lancer dans une formation est un vrai projet de vie. Et qui dit projet, dit questions pratiques ! Est-ce que la formation est payante ? Peut-on être rémunéré(e) ? Est-ce difficile ? On aborde ces points cruciaux sans tabou.
Le coût et le financement de la formation
Le budget à prévoir tourne autour de 4 500 € par an, mais attention : les frais peuvent varier selon les IFAP publics ou privés. Heureusement, plusieurs aides existent pour vous soulager financièrement.
- Compte Personnel de Formation (CPF) : Utilisez vos droits pour financer tout ou partie de votre formation.
- Aides du Conseil Régional : Certaines régions prennent en charge jusqu’à 100 % des frais (ex : Auvergne Rhône Alpes, Corse).
- Pôle Emploi : Si vous êtes en recherche d’emploi, des aides peuvent couvrir jusqu’à 5 545 €/mois selon les régions.
- Contrat d’apprentissage ou de professionnalisation : Formation gratuite et rémunérée, avec un statut de salarié.
- OPCO : Pour les salariés en reconversion, des conventions avec votre employeur facilitent le financement.
La question de la rémunération
En cursus classique, la formation n’est pas rémunérée – les stages sont également non payés. La bonne nouvelle ? L’apprentissage ou l’alternance offrent une solution. En signant un contrat, vous devenez salarié(e) et percevez jusqu’à 85 % du SMIC. C’est une opportunité à saisir, même si les places sont limitées.
La formation est-elle difficile ? Le soutien pédagogique
Difficile ? Disons plutôt exigeante ! Le rythme est soutenu, mais les IFAP proposent des outils pour vous accompagner. Vous bénéficierez d’un suivi personnalisé par des formateurs référents, d’un tutorat en stage, et de modules adaptés à votre progression. La clé ? Organisation et motivation. Besoin de conseils ? Découvrez quelques techniques pour réviser efficacement et optimiser vos chances de réussite.
Et après la formation ? valider son diplôme et se lancer dans le métier
Vous y êtes presque ! Après 11 mois intenses, vient le moment de valider tout ce travail. Comment obtient-on le fameux DEAP et à quoi ressemble le quotidien ensuite ?
Validation du diplôme : pas de grand oral, mais du sérieux
Le diplôme d’État d’auxiliaire de puériculture (DEAP) se valide en deux étapes :
- Les modules théoriques en contrôle continu avec jusqu’à 4 rattrapages max. Les évaluations incluent des mises en situation (prévention des accidents, gestion des repas). Sur les 10 modules au total, certains portent sur l’accompagnement de l’enfant ou la gestion de son éveil.
- Les stages pratiques (770 heures) répartis en 4 périodes, dont une en milieu hospitalier. Ces stages renforcent concrètement vos compétences, avec une attention portée aux soins quotidiens et à l’hygiène.
Envie de maximiser vos chances ? Nos conseils pour réussir votre diplôme vous guident pas à pas.
Le métier : un quotidien riche en sens
Une fois diplômé(e), vous devenez un pilier pour les enfants. Vos missions ?
- Accompagner leur développement moteur et psychique. Par exemple, vous aiderez un enfant à tenir assis, à prononcer ses premiers mots, ou à gérer ses émotions.
- Assurer leur hygiène et bien-être au quotidien. Cela inclut les changes, les soins de peau adaptés aux nourrissons, ou la gestion des repas en tenant compte des régimes spécifiques.
- Organiser des activités d’éveil, gérer les repas, les siestes, les changes. Dans une crèche, vous stimulerez leur motricité ou leur langage par des jeux simples mais efficaces.
Vous travaillez sous la responsabilité d’un encadrement infirmier. En milieu hospitalier ou en crèche, vous collaborez avec des puériculteurs pour garantir des soins sécurisés. Votre rôle est central dans les soins quotidiens, toujours en binôme avec des professionnels.
« Devenir auxiliaire de puériculture, c’est bien plus qu’un métier : c’est une mission essentielle au cœur du développement et du bien-être des plus jeunes. »
Vous voilà équipé(e) pour devenir auxiliaire de puériculture ! Formation en 11 mois (ou 9 mois pour les titulaires de certains diplômes), alternance possible, stages variés incluant le milieu hospitalier. Compétences humaines clés et métier passionnant vous attendent. Prêt(e) à vous lancer ? 🌟
FAQ
Quel est le parcours pour devenir auxiliaire de puériculture ?
On vous dit tout ! Pour devenir auxiliaire de puériculture, rien de plus simple : il suffit de valider une formation de 11 mois maximum menant au Diplôme d’État d’auxiliaire de puériculture (DEAP). Pas de concours écrit depuis 2020, seulement un dossier de candidature et un entretien oral pour vérifier votre motivation. Si vous avez déjà un CAP AEPE, un Bac Pro ASSP ou un DEAS, vous bénéficiez d’un parcours allégé de 9 mois. Envie de cumuler expérience et rémunération ? Optez pour l’alternance, cela prendra 18 mois mais vous serez payé(e) dès le début !
Combien de temps dure la formation d’auxiliaire de puériculture ?
TADAM ! La formation classique dure 11 mois pour 1540 heures au total. La moitié en théorie (22 semaines en institut) et l’autre en stages (4 périodes de 5 à 7 semaines). Des variantes existent : avec un CAP AEPE, vous gagnez 2 mois (9 mois), en alternance cela devient 18 mois (rémunéré), et avec la VAE, comptez 1 à 2 ans pour valider votre expérience. Les IFAP publics ou privés organisent tout ça, avec des congés prévus (3 ou 4 semaines selon la date de rentrée).
Est-ce que la formation d’auxiliaire de puériculture est rémunérée ?
IMPORTANT : en formation classique, non, vous n’êtes pas rémunéré(e). Mais en alternance ou en apprentissage ? Oui ! Vous signez un contrat de travail et percevez un salaire (environ 1 333 €/mois selon l’âge). Les frais de scolarité sont souvent pris en charge par l’employeur, un vrai plus ! Pour les autres, prévoyez un budget entre 3 500 et 7 500 € selon l’école, mais des aides existent : CPF, régions, Pôle Emploi… On vous aide à y voir plus clair dans la section dédiée.
Est-ce que la formation d’auxiliaire de puériculture est difficile ?
Rien n’est impossible, mais soyons honnêtes : le rythme est intense ! Entre cours théoriques, stages épuisants et évaluations continues, il faut être organisé(e) et motivé(e). Mais rassurez-vous, les IFAP vous accompagnent : API (Accompagnement Pédagogique Individualisé), suivi par des formateurs ou stages tutorés… Vous ne serez pas seul(e) ! Et avec des astuces pour réviser, vous avez toutes les clés en main pour réussir.
Quel est le salaire net d’un auxiliaire de puériculture ?
En tant que débutant(e), comptez 1 700 à 2 000 € net mensuels en secteur public (statut de la fonction publique). En privé, cela varie selon l’employeur, mais vous pouvez espérer jusqu’à 2 200 € avec des heures supplémentaires. Et avec l’expérience ou des postes spécialisés (handicap, pédiatrie), vos revenus peuvent grimper. Pas mal, non ?
Est-il possible de devenir auxiliaire de puériculture sans passer par un concours ?
OUI ! Depuis 2020, plus d’épreuve écrite : la sélection se fait sur dossier et entretien oral. Pas besoin de diplôme, juste votre motivation et vos qualités humaines (écoute, empathie, patience). Alors, prêt(e) à convaincre le jury ?
Quel est le prix de la formation auxiliaire de puériculture ?
Le coût tourne autour de 3 500 à 7 500 € selon l’IFAP. Des régions comme l’Auvergne-Rhône-Alpes ou la Corse prennent tout en charge, d’autres versent des aides variables (jusqu’à 6 600 € en Centre-Val-de-Loire). En alternance ? C’est gratuit et rémunéré ! Et si vous êtes en reconversion, le CPF ou Pôle Emploi peuvent aussi vous aider. N’hésitez pas à solliciter ces dispositifs !
Quels sont les inconvénients d’être auxiliaire de puériculture ?
Pas de métier idéal ! Voici quelques défis : horaires décalés (nuits, week-ends), fatigue physique (porter des enfants, station debout), et émotions parfois intenses (situation de handicap, familles en difficulté). En privé, le salaire peut être plus bas. Mais la récompense ? Le sourire des petits et la satisfaction d’accompagner leur épanouissement !
Quelle est la différence entre auxiliaire de puériculture et puéricultrice ?
L’auxiliaire travaille sous la responsabilité d’une puéricultrice (ou d’une sage-femme). La première a un DEAP (niveau 4) après 11 mois de formation, la seconde un diplôme d’infirmier(e) puéricultrice (niveau 5) après 3 ans. Les missions aussi divergent : l’auxiliaire se concentre sur les soins quotidiens, la puéricultrice gère les soins médicaux et coordonne l’équipe. Un métier complémentaire, mais tout aussi essentiel !