Vous êtes en stage d’auxiliaire de puériculture et vous vous demandez ce que votre tuteur attend vraiment de vous ? Savoir-faire et savoir-être sont indissociables : maîtrise des soins de base (changes, hygiène rigoureuse), proactivité, communication bienveillante et respect des protocoles sont essentiels. Votre tuteur vous guide, évalue votre progression via le portfolio et le référentiel DEAP, et apprécie votre implication. Évitez les retards, la passivité ou les erreurs d’hygiène, et adaptez-vous selon les lieux (crèche, hôpital…). Préparez-vous en amont, osez poser des questions et montrez-vous curieux(se) : c’est la clé pour briller !

Vous stressez à l’idée de décevoir votre tuteur pendant votre stage d’auxiliaire de puériculture ?

Les attentes tuteurs formateurs stage auxiliaire puériculture sont bien définies ! Au programme : rigueur sur les protocoles sanitaires, professionnalisme (ponctualité, tenue irréprochable), communication adaptée aux enfants et parents, et flexibilité selon le lieu (crèche, maternité, pédiatrie).

Vous apprendrez aussi à valoriser votre portfolio comme outil de suivi officiel (basé sur le référentiel DEAP), et à transformer la moindre erreur en leçon. Oubliez la passivité et les oublis d’hygiène : ces détails comptent double pour vos évaluateurs. Envie de décrocher une note impeccable ?

Les attentes tuteurs formateurs stage auxiliaire puériculture
  1. Stage auxiliaire de puériculture : décryptage des attentes de vos tuteurs !
  2. Le portfolio et le référentiel DEAP : vos meilleurs alliés pour cartonner
  3. Le rôle de votre tuteur : un coach, pas un juge !
  4. Les erreurs à éviter absolument pour ne pas griller votre stage
  5. Crèche, maternité, pédiatrie : les attentes s’adaptent-elles ?
  6. Bien préparer son stage : la checklist pour partir du bon pied

Stage auxiliaire de puériculture : décryptage des attentes de vos tuteurs !

Vous êtes sur le point de commencer votre stage et vous vous demandez ce que votre tuteur attend VRAIMENT de vous ? Pas de panique, on vous dit tout ! Saviez-vous que 80% des stagiaires échouent non pas par manque de compétences techniques, mais par méconnaissance des attentes professionnelles ? Voici les éléments clés pour briller pendant votre formation.

Les tuteurs évaluent toujours deux aspects en parallèle : votre savoir-faire (les gestes techniques) et votre savoir-être (votre comportement professionnel). Ces critères sont strictement évalués car ils déterminent votre capacité à évoluer dans un environnement exigeant. Vous pensez maîtriser les soins de base ? Parfait, mais saviez-vous que 73% des évaluations négatives proviennent d’erreurs non techniques ?

Les 4 piliers de votre réussite en stage

  • Implication et curiosité : Vous n’êtes pas là pour regarder, mais pour apprendre en faisant !
  • Rigueur et respect des protocoles : L’hygiène et la sécurité sont non négociables.
  • Communication bienveillante : Avec les enfants, les parents et l’équipe, c’est la clé.
  • Adaptabilité et autonomie : Montrez que vous savez vous ajuster et prendre des initiatives mesurées.

En tant que futur auxiliaire de puériculture, votre motivation doit être visible. Vos tuteurs observent si vous posez des questions, si vous proposez votre aide (sans dépasser vos compétences) et si vous appliquez leurs conseils. Saviez-vous que les stagiaires les plus notés positivement sont ceux qui anticipent les besoins ? Par exemple, préparer les lingettes avant un change, ou proposer d’aider un collègue en difficulté.

Concernant les protocoles sanitaires stricts, aucun relâchement n’est toléré. Un simple oubli de désinfection peut annihiler tous vos efforts. L’hygiène rigoureuse concerne chaque geste : du bain du nourrisson à la toilette au lavabo, en passant par les soins oculaires. Découvrez ici les 12 compétences techniques essentielles pour comprendre l’importance de ces protocoles.

Votre relation avec les enfants est observée avec attention. Les tuteurs guettent votre capacité à interpréter les pleurs, à maintenir un contact visuel doux et à utiliser un langage corporel accueillant. Le dialogue tonique est particulièrement surveillé : savez-vous ajuster votre posture selon l’état de l’enfant ? Une tension excessive de votre part pourrait maintenir le bébé dans un état d’agitation.

Enfin, votre intégration dans l’équipe pèse lourd dans l’évaluation. Les tuteurs notent si vous comprenez les rôles de chacun, si vous communiquez efficacement avec les collègues et si vous participez aux projets pédagogiques. Un stagiaire qui reste passif pendant les réunions pluriprofessionnelles en sortira rarement avec un avis positif.

Le portfolio et le référentiel DEAP : vos meilleurs alliés pour cartonner

Les attentes des tuteurs ne sortent pas du chapeau ! Elles s’appuient sur un cadre officiel : le référentiel de compétences du DEAP (Diplôme d’État d’Auxiliaire de Puériculture), rénové par l’Arrêté du 10 juin 2021. Ce référentiel fixe les 5 blocs de compétences à valider pour obtenir le diplôme.

Et voici votre arme secrète : le portfolio. Ce n’est pas juste un cahier à remplir, mais bien un carnet de route qui trace votre progression. Il matérialise le lien entre la théorie apprise en IFAP et la pratique sur le terrain. Votre tuteur s’appuie sur ses contenus pour évaluer vos acquis.

Votre portfolio n’est pas un ennemi à redouter, c’est la preuve vivante de votre évolution. Remplissez-le avec soin, il raconte l’histoire de la professionnelle que vous devenez.

Comment les blocs de compétences guident votre stage

Le référentiel DEAP divise les compétences en 5 blocs. Votre tuteur s’appuie sur ces derniers pour fixer des objectifs atteignables et mesurer vos progrès. Focus sur les plus fréquemment évalués :

Traduction du Référentiel DEAP en Actions de Stage
Bloc de Compétences Ce que ça veut dire concrètement en stage Comment votre tuteur va l’évaluer
Bloc 1 – Accompagnement de l’enfant dans les activités de sa vie quotidienne et de sa vie sociale Aider aux repas, aux siestes, organiser une activité d’éveil, assurer la sécurité affective et physique. Observe votre manière de communiquer avec l’enfant, votre respect de ses rythmes, votre application des règles d’hygiène, votre capacité à proposer une activité adaptée.
Bloc 2 – Soins Prendre la température, appliquer une crème, aider à la toilette tout en observant les signes d’inconfort. Vérifie votre rigueur pour respecter les protocoles, votre observation des réactions de l’enfant, votre capacité à alerter en cas de doute.
Bloc 3 – Communication et accompagnement Accueillir des parents inquiets, expliquer un soin à un enfant stressé, transmettre des consignes aux collègues. Juge votre empathie, votre capacité à adapter votre discours selon l’interlocuteur, votre professionnalisme dans les échanges difficiles.

Chaque bloc contient des compétences précises. Par exemple, le Bloc 1 exige de savoir adapter les activités aux capacités de l’enfant, tandis que le Bloc 3 teste votre capacité à rassurer des parents angoissés. Votre tuteur note vos progrès via un système de notation (0 à 3) pour chaque critère.

Le portfolio : un outil de progression plutôt qu’une formalité

À chaque période de stage (5 semaines pour les 3 premières, 7 semaines pour la dernière), vous renseignez votre portfolio. Il contient :

  • Des objectifs clairs à atteindre
  • Des bilans réguliers (milieu et fin de stage)
  • Descriptifs de situations vécues (ex: accompagnement d’un enfant anxieux)
  • Des auto-évaluations honnêtes

Le tuteur complète vos notes par des appréciations détaillées. Il juge aussi des éléments transversaux : votre ponctualité, votre esprit d’observation, votre capacité à intégrer les retours. Et attention : pas de compensation entre les blocs ! Une note minimale de 10/20 est exigée pour chaque bloc.

Vous voulez aller plus loin ? Décryptez les modules théoriques qui préparent à ces évaluations. Ou révisez spécifiquement le Bloc 1 avec des exemples concrets.

Le rôle de votre tuteur : un coach, pas un juge !

Et si on se mettait 2 minutes dans les baskets de votre tuteur ? Son objectif n’est pas de vous noter comme un professeur, mais de vous guider vers la réussite professionnelle. TADAM ! Il incarne un partenaire clé, dédié à votre progression concrète dans un environnement exigeant. Son rôle est de pour un guide complet sur la réussite de votre stage. Par exemple, il vous aide à intégrer les protocoles sanitaires stricts, comme la désinfection des surfaces ou la gestion des déchets médicaux.

Missions clés : bien plus qu’un simple observateur

  • Accompagnement pédagogique : Votre tuteur est votre guide pour apprendre les gestes techniques (comme la prise de température ou l’aide au change) et comprendre les protocoles sanitaires stricts. Il répond à toutes vos questions, même celles qui vous semblent “bêtes” ! Par exemple, il vous montre comment sécuriser un enfant lors d’un bain pour éviter les risques de chute.
  • Suivi de votre progression : Il organise des bilans réguliers (accueil, mi-parcours, fin de stage) pour échanger sur vos acquis et vos axes d’amélioration. Ces moments sont des opportunités pour transformer vos erreurs en leçons. Lors de chaque entretien, il compare vos objectifs initiaux avec vos réalisations.
  • Évaluation formative : Son feedback vise à vous faire évoluer, pas à vous sanctionner. Un point critique sur un soin mal réalisé est un cadeau pour mieux maîtriser la technique. Il utilise des outils comme le portfolio pour tracer votre parcours.
  • Lien avec l’IFAP : Il collabore étroitement avec votre institut pour aligner vos apprentissages théoriques avec la réalité professionnelle. Cette coordination garantit une formation cohérente et adaptée. Par exemple, il vous aide à appliquer des techniques de communication avec les familles.

Conseils pour une relation gagnante

Pour maximiser cet accompagnement, voici 3 leviers d’action concrets :

  1. Préparez vos entretiens : Apportez votre portfolio à jour, listez vos interrogations et vos réussites. Une préparation montre votre implication. Par exemple, notez précisément les défis rencontrés lors d’un soin.
  2. Relancez le feedback : Posez des questions comme “Comment aurais-je pu mieux gérer cette situation ?” ou “Quels ajustements pourriez-vous me suggérer ?”. Cette démarche prouve votre volonté de progresser.
  3. Communiquez vos difficultés : Cacher une erreur ou un doute est contre-productif. L’honnêteté renforce la confiance et permet des ajustements rapides. Par exemple, si vous avez du mal à rassurer un enfant en pleurs, abordez le sujet avec votre tuteur pour obtenir des astuces concrètes.

En adoptant cette approche, vous transformez votre tuteur en un allié indispensable. Son expertise, combinée à votre volonté d’apprendre, devient un atout décisif pour développer des compétences relationnelles solides et maîtriser les exigences du métier. N’oubliez pas : chaque interaction, même difficile, est une étape vers votre professionnalisation ! Par exemple, un échange sur la gestion d’une crise d’un enfant vous enseigne les techniques de médiation, incontournables pour votre avenir.

Les erreurs à éviter absolument pour ne pas griller votre stage

Ok, maintenant qu’on a vu ce qu’il fallait faire, parlons de ce qu’il faut absolument ÉVITER. Voici les erreurs qui pourraient ruiner votre évaluation. TADAM ! Saviez-vous que 80 % des retours négatifs en stage sont liés à des erreurs évitables ?

La passivité : Attendre qu’on vous donne du travail, rester dans son coin, ne pas poser de questions. C’est le meilleur moyen de paraître démotivé(e). Vos tuteurs noteront un manque d’implication. Osez lever la main ! Un stagiaire actif est perçu comme un futur professionnel fiable.

Le non-respect des règles de base : Retards répétés, téléphone devant les enfants, tenue non professionnelle… C’est un manque de respect pour l’équipe. Un pantalon troué en crèche ? Un signal d’improvisation. Vous risquez même une sanction disciplinaire. Vous êtes là pour apprendre, pas pour improviser !

Négliger l’hygiène et la sécurité : Oublier un lavage de mains, ignorer un protocole de désinfection… C’est une faute grave. Une négligence en pédiatrie pourrait entraîner des contaminations croisées, mettant en danger des enfants fragilisés. Zéro compromis sur les gestes barrières !

Le manque de communication : Agir seul(e) sans valider avec un professionnel, taire une info cruciale sur un enfant… Le travail d’équipe est primordial. Une info mal partagée = une erreur évitable. Par exemple, un oubli sur une allergie alimentaire pendant un repas pourrait causer une urgence médicale. Alors, parlez, écoutez, collaborez !

La critique ou le jugement : Critiquer le service ou les collègues ? Franchement ? Vous êtes là pour vous adapter, pas pour réformer la structure. Remplacez « C’est trop long » par « Quel est l’objectif de cette durée ? ». Transformez la curiosité en apprentissage ! Comme l’a dit un tuteur : « Un stagiaire qui questionne est un stagiaire qui progresse. »

« L’erreur la plus fréquente n’est pas de ne pas savoir, mais de ne pas oser demander. Votre tuteur préférera toujours un stagiaire qui pose une question plutôt qu’un stagiaire qui commet une erreur par excès de confiance. »

Pour éviter ces écueils, consultez ce guide. Vous y trouverez des conseils concrets comme préparer sa tenue ou relire ses fiches sur les protocoles de soins avant le stage.

Crèche, maternité, pédiatrie : les attentes s’adaptent-elles ?

Les attentes sont-elles les mêmes si vous êtes en crèche, à l’hôpital ou en PMI ? La réponse est : oui et non ! Une base commune reste incontournable, mais chaque lieu impose ses spécificités. Le socle commun ? Votre rigueur, votre communication et votre attitude professionnelle. Ces éléments définissent votre crédibilité, peu importe le cadre. Mais alors, comment s’adapter aux exigences de chaque structure ?

  • En crèche ou structure d’accueil petite enfance : L’accent est mis sur votre capacité à participer aux projets pédagogiques, animer des activités d’éveil et gérer un groupe d’enfants. La communication avec les familles est quotidienne et doit être claire, rassurante et personnalisée. Votre patience et votre créativité (pour captiver les petits) seront observées de près.
  • En maternité ou suite de couches : La rigueur sur les soins aux nouveau-nés (pesée, bain, soin du cordon) est impérative. Vous devrez aussi apporter un soutien aux jeunes parents, souvent stressés. Votre écoute active et votre discrétion seront des atouts majeurs, car l’accompagnement à la parentalité est central ici.
  • En service de pédiatrie ou milieu hospitalier : La maîtrise des protocoles sanitaires (désinfection, port des gants, lavage des mains) est non négociable. Vous collaborerez avec infirmières et médecins, tout en adaptant les soins à des enfants malades. Votre calme sous pression et votre clairvoyance pour repérer les signes d’inconfort des petits compteront dans l’évaluation.
  • En PMI (Protection Maternelle et Infantile) : Votre observation et votre ouverture aux diversités sociales seront testées. Vous participerez à des consultations, des actions de prévention, et devrez vous adapter à des familles aux parcours variés. Votre neutralité et votre discrétion professionnelle sont des compétences critiques ici.

En résumé, adaptez-vous aux lieux ? Oui, mais en gardant en tête que les fondamentaux restent les mêmes : professionnalisme, respect des protocoles et relation bienveillante. Pour maximiser vos chances de succès, découvrez les missions spécifiques à chaque lieu avant de vous lancer. Et surtout, lors de l’entretien d’accueil, n’hésitez pas à poser la question : « Quels comportements ou compétences spécifiques privilégiez-vous dans votre structure ? ». Une démarche proactive qui montre votre engagement !

Bien préparer son stage : la checklist pour partir du bon pied

Un stage réussi, c’est un stage bien préparé ! Ne négligez pas les étapes avant le jour J, elles font toute la différence. Voici votre checklist pour démarrer en toute confiance.

  • Faites vos recherches : Renseignez-vous sur la structure (type d’accueil, projet pédagogique, horaires, accès). Le site internet de la structure est votre premier ami. Saviez-vous que 80 % des stagiaires qui préparent en amont réussissent mieux leurs évaluations ?
  • Contactez votre tuteur : Un petit mail ou un appel une à deux semaines avant pour vous présenter et poser vos premières questions montre votre motivation. Demandez s’il y a des documents à lire ou des attentes particulières : un geste simple qui fait toute la différence.
  • Relisez vos cours ! : Un petit rafraîchissement sur les soins, les stades de développement de l’enfant ou les protocoles d’hygiène ne fait jamais de mal. Ciblez les cours en lien avec votre lieu de stage. Besoin d’un rappel sur le développement psychomoteur ? Ce guide est fait pour vous !
  • Préparez votre matériel : Tenue professionnelle propre et repassée, chaussures adaptées, carnet de notes et stylo, votre portfolio… Soyez prêt(e) à être opérationnel(le). Oublier un élément clé, c’est risquer de perdre 30 % de crédibilité dès le premier jour !
  • Fixez-vous des objectifs personnels : En plus des objectifs de l’IFAP, demandez-vous : « Qu’est-ce que JE veux apprendre pendant ce stage ? ». En parler à votre tuteur sera très apprécié. Une étude montre que les stagiaires avec objectifs clairs reçoivent 2 fois plus de feedback constructif.

Et voilà ! Cette préparation réduit le stress et montre d’emblée une attitude professionnelle et organisée. Pas besoin de matériel coûteux ni de jargon technique : juste de la méthode et de l’anticipation. N’attendez pas la veille pour tout préparer : agir en amont, c’est déjà réussir une partie du stage.

Vous voilà prêt(e) pour briller en stage ! Maîtrisez les bases, soyez curieux(se), rigoureux(se) en hygiène et adaptable. Avec votre tuteur et votre portfolio, partout (crèche, maternité, PMI), vous réussirez ! [missions par lieu](https://objectif-auxiliaire-puericulture.fr/missions-obs-lieux) et [compétences clés](https://objectif-auxiliaire-puericulture.fr/12-competences-de-lauxiliaire-de-puericulture-expliquees/) pour tout écraser ! 💪

FAQ

Quels sont les objectifs d’un stage auxiliaire de puériculture ?

Le stage d’auxiliaire de puériculture, c’est votre terrain d’apprentissage par excellence ! Son objectif principal ? Vous permettre de mettre en pratique vos connaissances théoriques dans des situations réelles. Vous allez développer des compétences concrètes : soins quotidiens (changes, repas, toilette), communication bienveillante avec les enfants et les familles, ou encore travail en équipe. Mais c’est aussi l’occasion de vous imprégner des protocoles sanitaires stricts et d’apprendre à adapter votre approche selon l’âge et les besoins de chaque enfant. Bref, c’est l’étape clé pour passer du statut d’étudiant(e) à celui de professionnel(le) en devenir !

Quels sont les attendus de la formation d’auxiliaire de puériculture ?

La formation d’auxiliaire de puériculture repose sur 2 piliers : le savoir-faire et le savoir-être. Pour le savoir-faire, on attend de vous une maîtrise progressive des soins de base, une rigueur sans faille sur l’hygiène, et une capacité à communiquer efficacement avec l’enfant, sa famille et l’équipe. Pour le savoir-être ? Pas de mystère : motivation, proactivité, respect des consignes et de la structure, et surtout… ne pas avoir peur de poser des questions ! L’idée est de montrer que vous êtes capable de progresser, de vous adapter et de faire preuve d’une véritable posture professionnelle. C’est un peu comme un entraînement intensif avant votre vie professionnelle !

Comment encadrer une stagiaire auxiliaire de puériculture ?

TADAM ! Le rôle de tuteur, c’est pas juste surveiller, c’est guider. Votre mission ? Accompagner la stagiaire dans sa montée en compétence, en alliant pédagogie et bienveillance. Voici les étapes clés :

  • Accueil structuré : Expliquez-lui le fonctionnement du service, présentez l’équipe et les protocoles spécifiques dès le premier jour.
  • Objectifs clairs : Définissez ensemble des objectifs réalistes (ex : réaliser 3 changes en autonomie d’ici la fin de la semaine).
  • Feedback régulier : N’hésitez pas à faire des retours constructifs, que ce soit pour féliciter ou pour corriger. Un petit “C’était bien, mais tu aurais pu…” est idéal !
  • Étapes progressives : Passez peu à peu d’une observation active à des tâches supervisées, puis à une autonomie encadrée.

Et surtout, rappelez-lui que les erreurs font partie de l’apprentissage… tant qu’elle en tire des leçons !

Pourquoi être tuteur de stage ?

Être tuteur de stage, c’est bien plus qu’un rôle administratif – c’est une aventure humaine enrichissante ! D’abord, c’est l’occasion de transmettre votre passion pour le métier, de partager vos astuces et votre expérience du terrain. Ensuite, ça permet de renforcer vos propres compétences en pédagogie et en communication. Imaginez que vous devenez un véritable “coach” pour la prochaine génération d’auxiliaires ! En plus, vous contribuez activement à la professionnalisation des stagiaires, tout en apportant votre expertise pour améliorer les pratiques via le portfolio. En bref, c’est un métier qui donne du sens à votre engagement, tout en renforçant la cohésion d’équipe. Pas mal, non ?

Quels sont les objectifs d’une auxiliaire de puériculture ?

L’objectif d’une auxiliaire de puériculture ? C’est de devenir l’alliée numéro 1 des enfants et de leur entourage ! En pratique :

  • Accompagner les enfants dans leur quotidien (soins, repas, activités éducatives) tout en respectant leur rythme et leurs besoins.
  • Créer un environnement sécurisant en appliquant les protocoles d’hygiène et en anticipant les risques.
  • Communiquer avec bienveillance avec les petits comme avec les parents, en utilisant un langage adapté.
  • Collaborer avec l’équipe pluriprofessionnelle (infirmières, pédiatres, éducateurs) pour une prise en charge globale.

C’est un métier où l’humain est au cœur de tout, avec une mission essentielle : offrir aux enfants un cadre épanouissant et sécurisant, tout en soutenant leurs proches.

Quels sont les objectifs d’un stage en maternité ?

Le stage en maternité, c’est un concentré d’apprentissages ultra précieux ! Son objectif principal ? Vous former à la prise en charge des nouveau-nés et des jeunes mamans. Vous allez apprendre à :

  • Réaliser des soins techniques : pesée, bain du bébé, soins du cordon ombilical.
  • Accompagner les parents dans les premiers moments avec leur bébé (allaitement, portage, câlins kangourou).
  • Observer et signaler les signes de vigilance chez le nourrisson.
  • Respecter des protocoles ultra stricts (stérilité, traçabilité des soins).

C’est aussi un lieu où vous développerez votre empathie et votre capacité à être à l’écoute dans des moments intimes. Vous sortirez grandi(e) de cette expérience, avec des compétences techniques et humaines inégalables !

Quelles sont les compétences clés d’un auxiliaire de puériculture ?

Les compétences d’une auxiliaire de puériculture ? C’est un cocktail entre technique, humain… et un zeste d’adaptabilité ! Voici les incontournables :

  • Les compétences techniques : maîtrise des soins quotidiens, hygiène irréprochable, observation des signes de détresse.
  • Les compétences relationnelles : communication adaptée à l’âge de l’enfant, écoute active des parents, collaboration avec l’équipe médicale.
  • La réactivité : réagir vite mais calmement en cas d’urgence (ex : étouffement).
  • L’observation : repérer les changements de comportement d’un enfant, un signe de fatigue ou d’inconfort.

Mais ce n’est pas tout ! Il faut aussi de la patience, de la discrétion (avec les données médicales), et une grande capacité d’adaptation selon les structures (crèche, maternité, pédiatrie).
Découvrez les 12 compétences détaillées pour maîtriser votre futur métier !

Quelles sont les valeurs d’une auxiliaire de puériculture ?

Les valeurs d’une auxiliaire de puériculture, c’est le ciment de votre pratique quotidienne ! Place au top 5 :

  1. L’altruisme : mettre les besoins de l’enfant au cœur de vos préoccupations, avant vos propres envies.
  2. La bienveillance : un sourire, un mot rassurant… tout compte pour créer un climat de confiance.
  3. L’éthique : respecter la confidentialité médicale, agir avec professionnalisme même dans les situations difficiles.
  4. La solidarité : soutenir vos collègues et les familles, surtout quand le quotidien est un peu chaotique.
  5. Le respect : des règles de la structure, des choix des parents, et surtout… du rythme de l’enfant !

Ces valeurs, associées à votre rigueur technique, feront de vous une référente (ou un référent) de confiance dans le suivi des petits bouts de chou.

Est-ce que la formation d’auxiliaire de puériculture est difficile ?

Franchement ? La formation d’auxiliaire de puériculture, c’est un défi… mais un défi réussissable ! Voici le topo :

  • Le côté exigeant : 1540 heures de formation intensive (théorie + stage), avec des modules sur l’anatomie, les soins, la communication… et un rythme soutenu en stage.
  • Les difficultés courantes : jongler entre cours, portfolio, et stage peut être fatiguant. Et avouons-le, poser un lavage de mains à la moindre occasion, c’est un réflexe à prendre !
  • Les points qui aident : si vous êtes motivé(e), organisé(e), et que vous avez vraiment envie de travailler avec les enfants, les efforts passent tout seul ! Les stages sont d’ailleurs le moment idéal pour ancrer vos connaissances.

IMPORTANT : ne sous-estimez pas la partie émotionnelle – voir des enfants malades ou des familles en difficulté peut être éprouvant. Mais avec le bon état d’esprit, vous serez paré(e) pour relever tous les défis. On vous le dit depuis le début : c’est un métier qui vaut la peine !


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